Les ordinateurs, tablettes et téléphones interdits dans les soutes des avions

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Bonjour, cette mesure est une mesure de sécurité aérienne, qui n'est pas encore intégrée officiellement dans les textes fondateurs à savoir l'Annexe 18 de l'OACI (texte de référence en matière de sécurité aérienne) qui est édité courant Avril ainsi que la DGR (Dangerous Goods Regulations) qui est la manuel de classification et mise en œuvre de procédures concernant la réglementation internationale sur le transport aérien des matières dangereuses, édicté par l'IATA (International Air Transportation Association) édité courant décembre. Ces mesure devront être suivies par les compagnies aériennes qui ont l'obligation lorsqu'elles sont adhérentes à l'IATA (95% d'entres elles environ) de se conformer à ces mesures.
Ce qui pose problème se sont les batteries au Lithium (LiON Litium Ion) qui comporte un risque incendiaire important et même sous certaines conditions explosif. Cependant dans une majorité des cas ça ne va pas changer beaucoup l'habitude de voyage des usagers dans la mesure ou la plupart des passagers prennent ses appareils en bagage cabine, la cabine étant pressurisée visiblement les compagnies se sont assouplies sur cette procédure à un moment les agents de sûreté retiré les appareils comportant ce type de batterie. Le souci c'est la responsabilité des donneurs d'ordres, à savoir que beaucoup d'entre eux ne souhaite pas que les agents de sûreté embêtent les passagers, et de fait l'obligation de formation DGR12 du personnel chargé des contrôle passe à la trappe et c'est déplorable, bussiness versus security.
Les agents de sûreté qui contrôlent les bagages de soute à l'aide de moyens radioscopiques n'auront de tout de façon pas forcément les moyens de détecter ces articles, dans la mesure ou les machines traitant les bagages de soute sont sur les grandes plateformes automatiques, la détection automatique étant chargé d'alarmé lorsque la présence d'explosifs est suspecté, les batteries d'ordinateur ou de tablette passeront hors des mailles du système, par contre sur les plateformes qui utilisent des machines intégrées ou non, en mode classique (et ça existe, Roissy, ou Vatry par exemple), si les opérateurs ont la consigne ce sera différent.
C'est l'exemple même d'une procédure inefficace est difficilement applicable, cette mesure fait écho à diverses incident notamment un BOEING 787 qui avait des batteries d'alimentation du système électrique défectueuses et fabriquées spécialement pour l'avionneur et depuis 2014 les batteries au lithium étaient sous certaines conditions interdites au transport aérien.
Le souci c'est que les procédures internationales ne sont pas forcément harmonisés et suivies par les opérateurs du secteur aérien.

syl20formations a écrit:

Bonjour, cette mesure est une mesure de sécurité aérienne, qui n'est pas encore intégrée officiellement dans les textes fondateurs à savoir l'Annexe 18 de l'OACI (texte de référence en matière de sécurité aérienne) qui est édité courant Avril ainsi que la DGR (Dangerous Goods Regulations) qui est la manuel de classification et mise en œuvre de procédures concernant la réglementation internationale sur le transport aérien des matières dangereuses, édicté par l'IATA (International Air Transportation Association) édité courant décembre. Ces mesure devront être suivies par les compagnies aériennes qui ont l'obligation lorsqu'elles sont adhérentes à l'IATA (95% d'entres elles environ) de se conformer à ces mesures.
Ce qui pose problème se sont les batteries au Lithium (LiON Litium Ion) qui comporte un risque incendiaire important et même sous certaines conditions explosif. Cependant dans une majorité des cas ça ne va pas changer beaucoup l'habitude de voyage des usagers dans la mesure ou la plupart des passagers prennent ses appareils en bagage cabine, la cabine étant pressurisée visiblement les compagnies se sont assouplies sur cette procédure à un moment les agents de sûreté retiré les appareils comportant ce type de batterie. Le souci c'est la responsabilité des donneurs d'ordres, à savoir que beaucoup d'entre eux ne souhaite pas que les agents de sûreté embêtent les passagers, et de fait l'obligation de formation DGR12 du personnel chargé des contrôle passe à la trappe et c'est déplorable, bussiness versus security.
Les agents de sûreté qui contrôlent les bagages de soute à l'aide de moyens radioscopiques n'auront de tout de façon pas forcément les moyens de détecter ces articles, dans la mesure ou les machines traitant les bagages de soute sont sur les grandes plateformes automatiques, la détection automatique étant chargé d'alarmé lorsque la présence d'explosifs est suspecté, les batteries d'ordinateur ou de tablette passeront hors des mailles du système, par contre sur les plateformes qui utilisent des machines intégrées ou non, en mode classique (et ça existe, Roissy, ou Vatry par exemple), si les opérateurs ont la consigne ce sera différent.
C'est l'exemple même d'une procédure inefficace est difficilement applicable, cette mesure fait écho à diverses incident notamment un BOEING 787 qui avait des batteries d'alimentation du système électrique défectueuses et fabriquées spécialement pour l'avionneur et depuis 2014 les batteries au lithium étaient sous certaines conditions interdites au transport aérien.
Le souci c'est que les procédures internationales ne sont pas forcément harmonisés et suivies par les opérateurs du secteur aérien.

merci pour cet éclairage supplémentaire

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