depuis 6h45 ce jeudi, un homme seul retient en otage un vigile de Météo France

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Prise d'otage à Météo France
Info RMC : .Depuis 6h45, un vigile de Météo France est retenu en otage au siège de Toulouse. Le preneur d'otage est seul, perturbé, et on ne sait pas encore s’il est armé. Ses motivations ne sont pas encore connues. Le GIPN (Groupe d’intervention de la police nationale) est sur place.

et allez un de plus ...

!!! en souhaitant qu'il y ait plus de peur que de mal...

Encore un qui va se faire flinguer dans les rêgles.

Le preneur d'otage serait un déséquilibré...

Un veilleur de nuit est pris en otage par un homme depuis 6h ce jeudi matin au siège de Météo France dans le quartier de Basso Cambo, à Toulouse (Haute-Garonne), a indiqué une source policière.

Des contacts téléphoniques ont été pris par le groupe d'intervention de la police nationale (GIPN) de Bordeaux avec le preneur d'otage qui s'est rendu sur place. Il s'agirait d'un «déséquilibré», âgé de 40 ans, mais son identité, connue par les autorités, n'a pas été révélée, selon notre journaliste sur place. D'après une journaliste de France Bleu, l'homme est un chômeur en fin de droits. Interrogée par 20 Minutes, Françoise Souliman, secrétaire générale de la préfecture de Haute-Garonne, a indiqué qu'il était «vraisemblablement armé d'un fusil de chasse».

Le preneur d'otage réclame la presse et des cigarettes

Pour l'heure, le preneur d'otage aurait réclamé «la présence de la presse» et «un paquet de cigarette», selon Europe 1. La police a fermé le périmètre du siège de Météo France, située à la périphérie de Toulouse, où les employés ont été invités à ne pas se rendre. Le bâtiment dans lequel se trouve le preneur d'otage a été lui évacué.

La police a été alertée à 6h45 par l'appel d'un employé de Météo-France n'arrivant pas à joindre un vigile. Devant le siège de l'entreprise, les forces de l'ordre ont trouvé une voiture stationnée sans conducteur ni passager. «La relève du matin a vu qu'un véhicule gênait l'entrée d'accès pour le personnel. Il a téléphoné à l'intérieur à l'employé de permanence. C'est un individu qui lui a répondu et il lui a dit qu'il retenait la personne de permanence. L'alerte a été déclenchée», a déclaré à Europe 1 Didier Martinez du syndicat SGP Police.
20minutes.fr

Fin de la prise d'otage à Météo France Toulouse, le forcené est blessé

La police a donné l'assaut au siège de Météo France à Toulouse, jeudi 7 juin vers 11h30, mettant fin à la prise d'otage d'un gardien du site. Le preneur d'otage a été interpellé par le GIPN "à 11h20" précise une source policière au "Nouvel Observateur", ajoutant sans plus de détails pour l'instant que le forcené est "blessé" et l'otage "choqué."

Des revendications "confuses et incohérentes"

Le vigile était retenu depuis tôt ce matin, peu avant 7 heures. Le preneur d'otage était "armé d'un fusil de chasse" et retenait l'employé "dans la cafétéria" avait aussi confirmé une autre source policière un peu plus tôt au "Nouvel Observateur". Les revendications du preneur d'otage étaient "très confuses et assez incohérentes" selon la même source, d'après laquelle il évoquait notamment "son mal-être et le fait qu'il est au chômage." Selon la police, l'individu lui-même affirmait être connu de leurs services. Il aurait fait référence à une affaire le concernant traitée par le commissariat de Toulouse.

Le procureur de la République de Toulouse Michel Valet, sur place, devrait en dire davantage lors d'un point presse prévu dans les prochaines minutes.

La police avait été alertée à 6h45 par l'appel d'un employé de Météo France n'arrivant pas à joindre un vigile. Devant le siège de l'entreprise, située à la périphérie de Toulouse, les forces de l'ordre avaient trouvé une voiture stationnée sans conducteur ni passager. Des contacts téléphoniques avaient été pris avec le preneur d'otage par le groupe d'intervention de la police nationale (GIPN) basé à Bordeaux et qui s'était immédiatement rendu sur place.

Evacuation des employés

Selon François Lalaurette, le directeur de Météo France à Toulouse, le preneur d'otage s'était présenté au poste de garde et avait forcé le vigile à le conduire à l'intérieur du centre national de prévisions.

Seuls les employés qui assurent le service 24 heures sur 24 se trouvaient à ce moment sur les lieux. Ils ont été évacués sans encombre, avait dit François Lalaurette.

Plus d'un millier de personnes travaillent pour Météo-France et ses partenaires sur ce campus.
lenouvelobservateur.com

Le vigile serait blessé suite a assaut !! info rmc

Prise d'otage à Toulouse : le syndicat patronal veut plus de protection

Le SNES a réclamé jeudi des mesures législatives pour renforcer la protection des agents de sécurité privés.

Le syndicat national des entreprises de sécurité (SNES) a réclamé jeudi des mesures législatives pour renforcer la protection des agents de sécurité privés, en durcissant les sanctions s'ils sont victimes d'attaques, après la prise en otage d'un vigile à Toulouse. Le SNES, qui se présente comme la "première organisation patronale de la surveillance humaine", souhaite "assurer par la loi une protection spécifique des agents privés, profession exposée, comme en bénéficient déjà diverses professions comme celle de gardien d'immeuble par exemple".

Concrètement, le SNES suggère d'étendre aux agents de sécurité un dispositif dit "de circonstances aggravantes" prévu dans la loi Loppsi sur la sécurité intérieure, et qui permet de mieux protéger les agents de l'État et certaines professions exposées. "En cas d'agression, ce type de protection a un effet dissuasif puisqu'elle alourdit les peines, comme c'est d'ailleurs le cas pour les agents de sécurité publique", ajoute-t-il. Le SNES précise qu'il s'agit d'une "demande ancienne" de sa part, formulée notamment en 2010, mais son président Michel Ferrero "entend profiter des circonstances pour relancer personnellement le nouveau ministre de l'Intérieur sur cette revendication".

Un vigile du siège de Météo-France à Toulouse a été pris en otage jeudi peu avant 7 heures par un individu armé aux motivations mal déterminées, selon la police, la préfecture et Météo-France. Le Groupe d'intervention de la police nationale (GIPN) a donné l'assaut en fin de matinée. Le forcené a été blessé mais l'otage est indemne, selon des sources policières.

lepoint.fr source:AFP le 07.06.12 à 12h54

krakeurs a écrit:

Le vigile serait blessé suite a assaut !! info rmc

Pourvu que ce soit une erreur

Le SNES réclame...... bla, bla mais que font-ils eux tous les jours pour améliorer nos conditions ?. Aujourd'hui, ils attendent que l'Etat fasse quelque chose. Depuis quand c'est à l'Etat de rêgler les problêmes des sociétés privées.

^^ Bien d'accord!

Prise d'otage à Météo France: le forcené est sorti d'affaire

Blessé dans l'assaut du GIPN, le preneur d'otage était entre la vie et la mort après son opération. Il se remet de ses blessures à l'hôpital de Toulouse.
Il est tiré d'affaire. Le forcené, grièvement blessé jeudi lors de l'assaut du GIPN après une prise d'otage au siège de Météo-France à Toulouse, n'est plus entre la vie et la mort. Il se remet de ses blessures dans un hôpital de Toulouse, a dit vendredi une source proche de l'enquête.

Les enquêteurs ne savaient toujours pas ce vendredi ce qui avait poussé ce chômeur de 52 ans à séquestrer pendant plusieurs heures un vigile sous la menace d'un fusil de chasse, ni pourquoi il avait choisi comme cible Météo-France.
L'ancien cariste intérimaire a ouvert le feu avec un fusil de chasse sur les hommes du Groupe d'intervention de la police nationale (GIPN) quand ils se sont approchés de lui. Il a été atteint au ventre.

Selon la police, le forcené a fait un arrêt cardiaque et il a fallu relancer son coeur par chocs électriques avant de l'opérer. "Il va mieux. Il semblerait qu'il soit tiré d'affaire, mais il reste hospitalisé. Il n'est pas audible avant plusieurs jours", a déclaré la source proche de l'enquête.

En revanche, le vigile de 56 ans s'en est sorti indemne. La seule exigence constante qu'ait formulé le forcené était qu'on lui apporte des cigarettes, selon le procureur de Toulouse.
Les policiers ont tenté d'engager un dialogue avec lui, mais cela s'est révélé "extrêmement difficile" en raison du comportement "irrationnel", a souligné le procureur. Le forcené, domicilié dans un petit village des Pyrénées, Portet-d'Aspet (Haute-Garonne), avait eu affaire avec la justice en 2008 et 2009 pour des faits anodins de violation de domicile et d'atteinte à la vie privée.

Lexpress.fr avec AFP le 08.06.12

Le preneur d'otage de Météo-France déclaré irresponsable

Le forcené de 52 ans qui avait pris en otage un vigile au siège de Météo-France à Toulouse début juin a été déclaré irresponsable et "non accessible à une sanction pénale" en raison de son état psychologique, a-t-on appris samedi auprès de son avocat, Me Alexandre Martin. Philippe Galinier pourrait cependant être jugé, sans pour autant risquer de condamnation si les expertises psychiatriques confirment le premier diagnostic, précise l'avocat.

D'autres expertises auront lieu, a précisé l'avocat, qui s'attendait à ces conclusions. "Ses actes incohérents, ses revendications complètement incohérentes, ça ne collait pas avec sa personnalité habituelle", affirme Me Martin.

Un geste toujours inexpliqué

Le preneur d'otage de Météo-France a été l'objet d'une hospitalisation d'office cette semaine à l'hôpital psychiatrique Marchant de Toulouse. Il était jusque là en détention provisoire dans une unité hospitalière de la maison d'arrêt de Seysses, à proximité de l'hôpital Marchant.

Le 7 juin, Philippe Galinier avait retenu un vigile pendant plusieurs heures avant d'ouvrir le feu sur les policiers du GIPN qui tentaient de l'interpeller. Il avait été mis en examen le lendemain pour séquestration et tentative de meurtre, sur son lit d'hôpital, ayant été blessé lors de l'intervention du GIPN.

Les enquêteurs n'ont pas réussi à établir pourquoi il avait choisi de s'en prendre à Météo-France, ni les raisons qui ont poussé ce chômeur à séquestrer le vigile. Ce dernier n'a pas été blessé.
tf1.fr le 07.07.2012

Est-ce un ancien salarié de météo france qui aurait été licencié comme sont souvent les prises d'otages dans le monde du travail ?