LES REMORDS DU GARDE DU CORPS

LES REMORDS DU GARDE DU CORPS

Pour la première fois, un membre de l’escorte de Kennedy témoigne.

L’assassinat de JFK a généré plus de 2500 ouvrages. Le dernier en date, The Kennedy Detail (L’escorte de Kennedy), offre un témoignage rare. Pour la première fois, un membre des services secrets chargés de la protection rapprochée du président, Gerald Blaine, y raconte sa version de ce funeste 22 novembre 1963. Si le livre ne contient pas de révélation, il offre néanmoins un récit à la fois trépidant et intime sur ces heures qui ont changé l’Amérique. Gerald Blaine y décrit un Kennedy énergique, chaleureux, aimant plonger dans la foule au mépris des avertissements de ses gardes du corps. L’auteur raconte encore la tristesse et les remords qui ont poursuivi les agents présents à Dallas toute leur vie. Ils avaient échoué dans leur unique mission: protéger le président.

mais hélas pas de réponse à ce complot....

Certes, G. Blaine se libère en parlant mais je ne suis pas sûr que son livre comme ses récentes interventions dans les médias US puissent réellement être qualifiés de remords.



Gérald Blaine, comme les autres agents de la WH Detail, sont convaincus qu'il n'y a jamais eu de complot, pas plus que de second tireur.

Lee Harvey Oswald est selon eux le seul et unique instigateur de l'assassinat.



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Dans son numéro daté du 03 décembre, Paris-Match rapporte le témoignage de Clint Hill, l'agent du Secret Service attaché à la First Lady Jackie Kennedy le jour de l'assassinat du président Kennedy.

On y apprend par exemple que lorsqu'on voit la First Lady ramper sur le coffre arrière de la limousine cabriolet, ce n'est nullement pour fuir ou chercher un abri. Jackie Kennedy a vu le crâne de son époux exploser sous l'impact et des morceaux de cerveau partir vers l'arrière du véhicule. sous le choc, c'est pour récupérer ces morceaux qu'elle se précipite ainsi.

L'agent Clint Hill ne s'est jamais remis de ce qu'il considère comme un échec. Il prend à son compte la responsabilité de l'assassinat du président américain. Il quittera le Secret Service quelques mois après le drame et sombrera rapidement dans l'alcoolisme.
Il ne s'en est sorti que le jour où il s'est rendu sur le toit de l'immeuble d'où le tireur Lee Harvey Oswald avait tiré sur le cortège.
Là, il s'est aperçu que la position était idéale et qu'aucun agent spécial affecté à la PR n'aurait pu empêcher ce drame. Il a arrêté de boire ce jour-là !

ha je pense que chacun d entre nous aurai eu des remords si on aurai été a sa place !!! il avais une grande responsabilité et sa mission a échouer
Il ne faut avoir aucun regret pour le passé, aucun remords pour le présent, et une confiance inébranlable pour l'avenir.

Ils étaient le "dernier rempart" mais n'ont aucun remords à avoir.
Des regrets bien sûr mais pas de remords.

regret : État de conscience plus ou moins douloureux causé par une perte ou un mal, physique ou moral, concernant soi-même ou quelqu'un d'autre.
remords : Tourment moral causé par la conscience d'avoir mal agi

Avec le temps, ils ont compris que le maillon faible n'était pas celui des agents du Secret Service mais l'unité chargée de la sécurisation du parcours.

RIEN ne leur aurait permis de sauver le président. Ils lui avaient demandé d'éviter une décapotable mais JFK avait décidé de parader à l'air libre.
Les APR n'étaient pas responsables des immeubles qui bordaient le parcours.

Des regrets donc, bien sûr ! Mais pas de remords depuis qu'ils ont compris ce qui s'était vraiment passé.