Déchaînement de violence dans une discothèque de l’Hérault

Déchaînement de violence dans une discothèque de l’Hérault

Une discothèque de Villeneuve-lès-Béziers (Hérault) a été le théâtre de deux actes de vengeance dans la nuit de vendredi à samedi. Un homme a reconnu le meurtre de son frère et un père a admis avoir voulu venger son fils refoulé à l’entrée de la boîte de nuit.

Les deux attaques contre Le Cube, en milieu de nuit puis à l’aube du samedi 11 avril, près de Béziers, ne sont pas liées, même si l’enquête, confiée au service régional de police judiciaire (SRPJ) de Montpellier, devra le déterminer avec certitude. A priori, une simple coïncidence semble être à l’origine de la double série de coups de feu tirés d’abord contre la façade de l’établissement, et ensuite à l’intérieur contre un homme, qui a été tué. Selon les premières investigations, les causes de ces agressions sont toutes deux de nature familiale.

Tout commence samedi lorsque, vers 3 h 50, plusieurs impacts de balles, tiré d’un fusil M16, atteignent la porte et la façade de la discothèque Le Cube. Le tireur remonte à bord de son véhicule, un vieux modèle Renault, tous feux éteints, et quitte le parking. Les vigiles ont eu le temps et le réflexe de relever le numéro d’immatriculation. Indice précieux pour les policiers de la sécurité publique de Béziers, rapidement sur les lieux. Ils identifient dans la foulée le propriétaire de la Renault, un homme âgé de 41 ans. Il est interpellé à son domicile de Villeneuve-lès-Béziers, non loin du Cube. Le fusil M16 est saisi. Tandis qu’il avoue avoir tiré pour venger son fils de 19 ans, refoulé une heure auparavant de la discothèque, un appel urgent parvient au standard de police-secours. Il est alors 6 h 25.

Trois balles dans le corps
Encore des coups de feu à la discothèque Le Cube, mais cette fois à l’intérieur de l’établissement qui a fermé ses portes ! Les enquêteurs biterrois se précipitent et font une macabre découverte : au premier étage, un homme est à terre et, près du corps gisant, son frère aîné, debout, hébété, tient encore son arme à la main. La victime, surnommée « Fun », est âgée de 38 ans et serait dotée d’une « forte personnalité ». Selon l’auteur présumé du meurtre, son frère de 43 ans, il lui aurait mis trois balles dans le corps parce que « Fun » faisait régner la terreur dans le secteur depuis des années. Toxicomane, il semblait avoir d’importants besoins d’argent pour se procurer de l’héroïne et de la cocaïne. Régulièrement, il sollicitait son cercle familial, qui exploite la discothèque Le Cube. S’il essuyait un refus, il terrorisait les siens, selon une source proche de l’enquête.

Par ailleurs, il refusait de régler une grosse dette, d’où une énième dispute, samedi à l’aube, entre les frères. L’aîné, menacé, s’est emparé d’un pistolet 22 long rifle et a tiré à bout portant, atteignant mortellement son cadet au ventre et dans le dos. Le meurtrier présumé, confié au SRPJ de Montpellier, sera déféré aujourd’hui au parquet de Béziers. Quant au père venu venger son fils, il a été remis en liberté et sera ultérieurement jugé.

source : francesoir.fr

Eh bien, voilà qui ne va pas améliorer l'image des Discothèques qui semblent cristalliser les violences les plus extrêmes et finalement peut-être les plus gratuites car épidermique. D'une part des clients qui se croient personnellement visés par les mesures de gestion de la boite, d'autre part des dirigeants dont on soupçonne toujours qu'ils sont la lie de la société marqués par le racket, la drogue et le sexe illégitime.
Tous les ingrédients sont présents et résumés dans l'article.
Je préférais quand même les bals populaires façon Sardou même si les coulisses n'étaient peut-être pas plus reluisantes et où les incidents pouvaient être tout aussi sanglaint mais qui avait l'avantage de se dérouler à l'air libre, le plus souvent, le regard des uns sur les autres valaient bien les caméras froides d'aujourd'hui pour l'autorégulation. Il est vrai qu'à l'époque il n'y avait aucune possibilité d'anonymat pour qui voulait s'en approcher. De nos jours personne ne connait plus personne bien que comme dit le film "cela se passe à côté de chez vous !" Vous me direz qu'aujourd'hui mes bals populaires ce sont des Raves, alors...
Alors c'est aux machines de garder la mémoire que les hommes ne peuvent plus avoir car il n'y a pas toujours quelqu'un pour relever une plaque d'immatriculation.

Administrateur a écrit:

Déchaînement de violence dans une discothèque de l’Hérault

Une discothèque de Villeneuve-lès-Béziers (Hérault) a été le théâtre de deux actes de vengeance dans la nuit de vendredi à samedi. Un homme a reconnu le meurtre de son frère et un père a admis avoir voulu venger son fils refoulé à l’entrée de la boîte de nuit.

Les deux attaques contre Le Cube, en milieu de nuit puis à l’aube du samedi 11 avril, près de Béziers, ne sont pas liées, même si l’enquête, confiée au service régional de police judiciaire (SRPJ) de Montpellier, devra le déterminer avec certitude. A priori, une simple coïncidence semble être à l’origine de la double série de coups de feu tirés d’abord contre la façade de l’établissement, et ensuite à l’intérieur contre un homme, qui a été tué. Selon les premières investigations, les causes de ces agressions sont toutes deux de nature familiale.

Tout commence samedi lorsque, vers 3 h 50, plusieurs impacts de balles, tiré d’un fusil M16, atteignent la porte et la façade de la discothèque Le Cube. Le tireur remonte à bord de son véhicule, un vieux modèle Renault, tous feux éteints, et quitte le parking. Les vigiles ont eu le temps et le réflexe de relever le numéro d’immatriculation. Indice précieux pour les policiers de la sécurité publique de Béziers, rapidement sur les lieux. Ils identifient dans la foulée le propriétaire de la Renault, un homme âgé de 41 ans. Il est interpellé à son domicile de Villeneuve-lès-Béziers, non loin du Cube. Le fusil M16 est saisi. Tandis qu’il avoue avoir tiré pour venger son fils de 19 ans, refoulé une heure auparavant de la discothèque, un appel urgent parvient au standard de police-secours. Il est alors 6 h 25.

Trois balles dans le corps
Encore des coups de feu à la discothèque Le Cube, mais cette fois à l’intérieur de l’établissement qui a fermé ses portes ! Les enquêteurs biterrois se précipitent et font une macabre découverte : au premier étage, un homme est à terre et, près du corps gisant, son frère aîné, debout, hébété, tient encore son arme à la main. La victime, surnommée « Fun », est âgée de 38 ans et serait dotée d’une « forte personnalité ». Selon l’auteur présumé du meurtre, son frère de 43 ans, il lui aurait mis trois balles dans le corps parce que « Fun » faisait régner la terreur dans le secteur depuis des années. Toxicomane, il semblait avoir d’importants besoins d’argent pour se procurer de l’héroïne et de la cocaïne. Régulièrement, il sollicitait son cercle familial, qui exploite la discothèque Le Cube. S’il essuyait un refus, il terrorisait les siens, selon une source proche de l’enquête.

Par ailleurs, il refusait de régler une grosse dette, d’où une énième dispute, samedi à l’aube, entre les frères. L’aîné, menacé, s’est emparé d’un pistolet 22 long rifle et a tiré à bout portant, atteignant mortellement son cadet au ventre et dans le dos. Le meurtrier présumé, confié au SRPJ de Montpellier, sera déféré aujourd’hui au parquet de Béziers. Quant au père venu venger son fils, il a été remis en liberté et sera ultérieurement jugé.

source : francesoir.fr

le gars est quand même en liberté c'est magnifique..........
Aprés on va taper sur les portiers qui auront eus la main "trop lourde"..

BOUNTYKILLER a écrit:

Administrateur a écrit:

Déchaînement de violence dans une discothèque de l’Hérault

Une discothèque de Villeneuve-lès-Béziers (Hérault) a été le théâtre de deux actes de vengeance dans la nuit de vendredi à samedi. Un homme a reconnu le meurtre de son frère et un père a admis avoir voulu venger son fils refoulé à l’entrée de la boîte de nuit.

Les deux attaques contre Le Cube, en milieu de nuit puis à l’aube du samedi 11 avril, près de Béziers, ne sont pas liées, même si l’enquête, confiée au service régional de police judiciaire (SRPJ) de Montpellier, devra le déterminer avec certitude. A priori, une simple coïncidence semble être à l’origine de la double série de coups de feu tirés d’abord contre la façade de l’établissement, et ensuite à l’intérieur contre un homme, qui a été tué. Selon les premières investigations, les causes de ces agressions sont toutes deux de nature familiale.

Tout commence samedi lorsque, vers 3 h 50, plusieurs impacts de balles, tiré d’un fusil M16, atteignent la porte et la façade de la discothèque Le Cube. Le tireur remonte à bord de son véhicule, un vieux modèle Renault, tous feux éteints, et quitte le parking. Les vigiles ont eu le temps et le réflexe de relever le numéro d’immatriculation. Indice précieux pour les policiers de la sécurité publique de Béziers, rapidement sur les lieux. Ils identifient dans la foulée le propriétaire de la Renault, un homme âgé de 41 ans. Il est interpellé à son domicile de Villeneuve-lès-Béziers, non loin du Cube. Le fusil M16 est saisi. Tandis qu’il avoue avoir tiré pour venger son fils de 19 ans, refoulé une heure auparavant de la discothèque, un appel urgent parvient au standard de police-secours. Il est alors 6 h 25.

Trois balles dans le corps
Encore des coups de feu à la discothèque Le Cube, mais cette fois à l’intérieur de l’établissement qui a fermé ses portes ! Les enquêteurs biterrois se précipitent et font une macabre découverte : au premier étage, un homme est à terre et, près du corps gisant, son frère aîné, debout, hébété, tient encore son arme à la main. La victime, surnommée « Fun », est âgée de 38 ans et serait dotée d’une « forte personnalité ». Selon l’auteur présumé du meurtre, son frère de 43 ans, il lui aurait mis trois balles dans le corps parce que « Fun » faisait régner la terreur dans le secteur depuis des années. Toxicomane, il semblait avoir d’importants besoins d’argent pour se procurer de l’héroïne et de la cocaïne. Régulièrement, il sollicitait son cercle familial, qui exploite la discothèque Le Cube. S’il essuyait un refus, il terrorisait les siens, selon une source proche de l’enquête.

Par ailleurs, il refusait de régler une grosse dette, d’où une énième dispute, samedi à l’aube, entre les frères. L’aîné, menacé, s’est emparé d’un pistolet 22 long rifle et a tiré à bout portant, atteignant mortellement son cadet au ventre et dans le dos. Le meurtrier présumé, confié au SRPJ de Montpellier, sera déféré aujourd’hui au parquet de Béziers. Quant au père venu venger son fils, il a été remis en liberté et sera ultérieurement jugé.

source : francesoir.fr

" le gars est quand même en liberté c'est magnifique..........
Aprés on va taper sur les portiers qui auront eus la main "trop lourde".."

!