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| LE TERRORISME ISLAMISTE | |
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Age : 45 Date d'inscription : 12/04/2007 Nombre de messages : 13874
| Sujet: LE TERRORISME ISLAMISTE Sam 8 Mar 2008 - 18:29 | |
| Le terrorisme revet plusieurs aspects. Donc un bg doit en tenire compte pour le bien de sa mission. Le terrorisme islamiste est une expression relativement récente adoptée par plusieurs acteurs médiatiques et politiques pour désigner la violence politique pratiquée par des organisations islamistes de par le monde. Ces organisations se définissent quant à elles comme pratiquant la résistance islamique[1].Considérations géopolitiques Pour un certain nombre d'analystes des questions géopolitiques, le terrorisme islamiste naît lors de la guerre d'Afghanistan dans le chef des Talibans[]. Cette guerre vit l'URSS lutter et perdre contre des forces musulmanes soutenues en sous main par les États-Unis. Comme l'écrit Noam Chomsky, « les islamistes radicaux, ou extrémistes, souvent appelés « fondamentalistes », ont été choyés par les États-Unis dans les années 1980, parce qu'ils étaient les meilleurs tueurs au monde. [] Nafeez Mosaddeq Ahmed a conforté cette analyse dans son livre La Guerre contre la vérité[4].[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Critique et usages du terme Dans le conflit israélo-palestinien, le Hamas est considéré comme un groupe terroriste islamiste par plusieurs pays[5]. Il se définit lui-même comme le "harakat al-muqâwama al-'islâmiya", le « mouvement de résistance islamique »[6].Selon Semih Vaner, directeur de recherches au Centre d'études et de recherches internationales, « Le terrorisme « islamique » n’existe pas. Existe un terrorisme (des terrorismes) pour la résistance (pas toujours au sens noble du terme, hélas, mais les difficultés commencent déjà, comment déterminer la noblesse et la légitimité de la résistance), mais surtout pour la lutte pour le pouvoir politique et économique. »[][Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Les attentats "aveugles" L'acte de sacrifice en tant qu'acte de guerre est commun à diverses civilisations, comme les kamikazes japonais faisant don de leur vie pour abattre l'ennemi. En revanche, ce qui est typiquement islamique dans l'acte de l'attentat suicide, est , selon le professeur Aymeric Chauprade, «l'idée que le rachat du sang des siens puisse se faire avec le sang indifférencié de ceux du clan adverse.» Dans la tradition musulmane, «la dette de sang est collective. Elle n'est pas personnelle comme dans la Tradition primordiale européenne [...] L'attentat suicide et aveugle s'inscrit dans la continuité des actes génocidaires déjà abondamment décrits dans l'Ancien Testament: un Orient de vengeance où les acteurs principaux se battent en versant, pour l'essentiel, le sang de leurs enfants, de leurs femmes, de leurs parents, de leurs cousins [...] La notion de victime innocente est une notion très occidentale. [Dans le monde musulman], et aussi en Asie, la race, le sang, le clan font de vous un coupable. Les kamikazes [islamiques] tuent [ainsi] des enfants juifs pour frapper le gouvernement d'Israël et le sionisme.»[][Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Exemples Chaque année, le département d'Etat américain publie un rapport dans lequel il cite les organisations terroristes contre lesquelles sont engagés les États-Unis dans la guerre contre le terrorisme. Parmi, celles-ci[], plusieurs organisations se revendiquent de l'Islam ou de l'islamisme, tels que le Groupe islamique armé, Gama’a al-Islamiyya, le Hamas, le Hezbollah, le Mouvement islamique d'Ouzbékistan, le Djihad islamique, Al-Qaida, ...Plusieurs attentats ont été revendiqués ou attribués à des mouvances se réclamant de l'islamisme et sont cités comme exemples de terrorisme islamiste :
- les Attentats du 11 septembre 2001 contre le World Trade Center de New York le 11 septembre 2001 attribués à Al-Qaïda,
- les Attentats du 11 mars 2004 à Madrid attribués aux "islamistes «#[]
- les Attentats du 7 juillet 2005 à Londres.[
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| Sujet: Re: LE TERRORISME ISLAMISTE Sam 8 Mar 2008 - 19:07 | |
| HamasEmblème du HamasLe Hamas, en arabe : حماس, acronyme partiel de harakat al-muqâwama al-'islâmiya (حركة المقاومة الإسلامية), « mouvement de résistance islamique »), est le plus important mouvement islamiste palestinien actuel (d'obédience sunnite). La pratique de l'acronyme en général et de l'acronyme partiel en particulier étant très rare en arabe, la dénomination Hamas a été délibérément choisie en raison du rapprochement avec le même mot en arabe, qui signifie « ardeur, zèle », sur le modèle de l'acronyme inversé Fatah.D'une part, le Hamas figure, entre autres, sur la liste des organisations terroristes du Conseil de l'Union européenne[1], du Canada[2], du Japon[3], des États-Unis[4] et d'Israël[5]. Les attaques de sa branche armée visent les militaires et les civils israéliens. D'autre part, le mouvement a créé un vaste réseau d'assistance sociale en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza. Le Hamas a remporté les élections législatives palestiniennes de 2006 et dirigé deux gouvernements successifs de l'Autorité palestinienne.HistoireSelon la biographie semi-officielle du Hamas, Truth and existence , l'histoire du mouvement s'articule autour de quatre grandes étapes ou périodes :
- 1967-1976 : création et développement des « Frères Musulmans » dans la bande de Gaza en réponse aux lois israéliennes ;
- 1976-1981 : expansion géographique à travers la participation de groupes plus expérimentés dans la bande de Gaza et en Cisjordanie et création d'institutions comme al-Mujamma' al-islami, al-Jam'iyya al-islamiyya et l'université islamique de Gaza ;
- 1981-1987 : influence politique à travers l'introduction de mécanismes d'action et la préparation au combat armé ;
- 1987 : fondation par Ahmed Yassine du Hamas en tant que bras armé des « Frères Musulmans » en Palestine et lancement du jihad.
De nombreux experts pensent que l'histoire du Hamas commence seulement avec le tournant des années 1980 lorsque son influence politique commence à s'affirmer.L'abréviation Hamas apparaît pourtant pour la première fois en 1987 dans un document accusant les services secrets israéliens (le Mossad) « de pervertir la morale de la jeunesse palestinienne en les recrutant comme collaborateurs ».De 1987 à 1993Le Hamas s'est formé fin 1987, le mouvement est alors proche des Frères musulmans d'Égypte [6]. Selon sa charte, « le Mouvement de la Résistance Islamique est l'une des ailes des Frères musulmans en Palestine »[7]Le Hamas se développe différemment en Cisjordanie, ne participant pas, notamment, à la création ou au contrôle d'institutions publiques. Les Frères musulmans en Cisjordanie forment alors une partie importante du Mouvement islamique de Jordanie qui fut pendant quelques années un allié du régime hachémite. De plus, les Frères musulmans en Cisjordanie s'appuient sur une classe sociale plus élevée (marchands, propriétaires, employés). Jusqu'au milieu des années 1980, les Frères musulmans prennent des positions essentielles dans les institutions religieuses de la Cisjordanie.Selon certains analystes, les Frères musulmans palestiniens étaient financés pendant les années 1970 et 1980 directement et indirectement par différents États comme l'Arabie saoudite et la Syrie, ainsi que par le Mossad [8]. Le bras politique et caritatif des Frères musulmans est alors reconnu officiellement par Israël. Le groupe se concentre sur l'aide sociale et sur des projets religieux et une intense action sociale et communautaire. Il essaie d'acquérir la confiance des Palestiniens et organise des projets communautaires. Au milieu des années 1980, les Frères musulmans palestiniens évoluent sous l'influence du cheikh Ahmed Yassine. Ce dernier prône l'action armée contre « l'occupant hébreu ». Il est emprisonné par l'État israélien en 1989, puis relâché au cours d'un échange de prisonniers.Les premières actions armées du Hamas commencent avec le début de la première Intifada. Elles s'attaquent en premier lieu aux Palestiniens mis en cause, puis en vient à attaquer les militaires israéliens eux-mêmes. Suivront des attaques contre des civils israéliens. Le Hamas évolue vers un mouvement politique radical et organise des actions armées et violentes.Le rôle du Hamas est éclipsé en 1989, lorsque notamment son fondateur, Ahmed Yassine, fut emprisonné en Israël. | |
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| Sujet: Re: LE TERRORISME ISLAMISTE Sam 8 Mar 2008 - 19:09 | |
| De 1994 à 2004
Le Hamas rejette les accords d'Oslo de novembre 1993 signés entre Israël et l'Autorité palestinienne. Toutefois, dans le même temps, Ahmed Yassine propose une hudna (trêve — en référence à la loi islamique qui permet une trêve conditionnelle limitée à 10 ans maximum avec des non Musulmans) si Israël accepte de se retirer des territoires occupés. Mohamed Nazzal, représentant de Hamas en Jordanie souligne que la trêve avec l’ennemi est « un principe sanctionné par la loi islamique, dépendant des circonstances et de l’accord unanime de la direction ». Cela, poursuit-il, ne suppose « ni acceptation de la paix ni reconnaissance du droit des juifs en Palestine »[9].
Le 16 avril 1993, le Hamas revendique la première opération-kamikaze qu'il organise. Il est perpétré contre un bus à Mehola Junction dans la Vallée du Jourdain.
Avant la seconde Intifada, le Hamas inaugure l'utilisation des attentats-suicides contre des civils israéliens (notamment à Hadera, en avril 1994) et contre des soldats et a étendu la violence pendant les années du soulèvement palestinien, particulièrement durant la seconde intifada.
Le 6 avril 1994, le Hamas revendique la première opération-kamikaze accomplie sur le sol israélien à Afoula affirmant vouloir « venger les martyrs » du caveau des Patriarches de Hébron, puis de son artificier Yahia Ayache. Il en revendiquera une vingtaine d'autres entre 1994 et 2000. Le Hamas a également revendiqué la plupart des opération-kamikaze opérées en Israël lors de la Seconde Intifada.
Le Hamas reçoit de nombreuses donations et fait des paiements élevés aux familles des auteurs d'attentats suicides [10].
Selon plusieurs observateurs, l'ascension du Hamas est favorisée dans les années 1990 par les dirigeants du Likoud (Benyamin Netanyahu au pouvoir en 1996-1999 et Ariel Sharon), notamment en n'entravant pas son financement par des capitaux saoudiens. Deux objectifs recherchés par la droite israélienne seraient ainsi atteints : le sabotage des accords d'Oslo avec l'augmentation des attentats terroristes, et l'affaiblissement du Fatah de Yasser Arafat, principal interlocuteur palestinien [11].
À partir de 2004
Le chef historique du mouvement, le cheikh Ahmed Yassine, est assassiné lors d'une attaque ciblée de l'armée israélienne le 22 mars 2004, sur ordre d'Ariel Sharon. Son successeur Abdel-Azziz Al-rantissi est également assassiné quelques jours après sa désignation. Le changement de direction à la tête du Hamas entraîne un changement de stratégie du mouvement qui commence à s'impliquer davantage dans la vie politique. Des représentants du Hamas se présentent aux élections municipales palestiniennes de 2005. Le succès aux municipales fait alors apparaître les islamistes comme une opposition politique importante face au Fatah, un an avant les législatives prévues pour janvier 2006.
Il observe dans le même temps une Tahdiya (sorte de trêve, accalmie au sens littéral) dans les attentats depuis l'attaque dans la ville de Beer Sheva en août 2004 (15 morts et 125 blessés), mais a cependant lancé une attaque une fois au même arrêt d'autobus en août 2005 (7 blessés). Il a également revendiqué les tirs de roquettes effectués depuis la Bande de Gaza. Selon les Israéliens, 2 990 attaques ont été menées contre Israël en 2005[12].
En tant que parti de résistance, il est opposé au partage de son territoire avec Israël et a dénoncé les accords d'Oslo vus comme une trahison de la volonté du peuple, l'ouverture d'un processus de paix ayant échoué. Cependant, en 2004, le Hamas évoque la possibilité d'une hudna après le rétablissement des frontières de 1967 et le retour des réfugiés palestiniens.
Dernière édition par BOUNTYKILLER le Sam 8 Mar 2008 - 19:12, édité 1 fois | |
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| Sujet: Re: LE TERRORISME ISLAMISTE Sam 8 Mar 2008 - 19:10 | |
| Élections législatives de 2006
Le 26 janvier 2006, le Hamas remporte les élections législatives palestiniennes. Il obtient 56 % des suffrages, ce qui lui donne une majorité parlementaire de 74 sièges sur 132 [13]. Le Hamas ravit ainsi la majorité au Fatah.
Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, invite le Hamas à former le nouveau gouvernement[14].
Ce résultat est perçu comme un net retour en arrière par les gouvernements étrangers qui jouaient le rôle de médiateurs pour le conflit israélo-palestinien. Les États-Unis ont déclaré qu'ils ne traiteraient pas avec le Hamas tant qu'il ne renoncera pas aux opérations-kamikazes et seulement lorsqu'il acceptera le droit à l'existence pour Israël, ce qui est en contradiction avec la charte actuelle du mouvement. Dans le même temps, le président israélien Moshe Katsav et l'ancien premier ministre Shimon Peres ont tout deux déclaré que si le Hamas reconnaissait l'existence d'Israël et abandonnait la terreur, Israël devrait négocier avec ce mouvement.
Il est à noté que, pendant la durée de la campagne législative palestinienne, il n'a pas été fait mention d'un objectif de destruction d'Israël[15], plusieurs commentateurs et médias Israeliens précisent néanmoins que ses dirigeants ne renoncent pas explicitement à cet objectif[16].
Pendant cette campagne, le Hamas a soutenu également la légitimité de son action passée, notamment les attaques menées en Israël, à Gaza et en Cisjordanie, qui ont permis l'évacuation de la Bande de Gaza. Ainsi, il a placé sur ses listes des personnes comme Mariam Farahat, mère de kamikazes et qui a participé à leur action[17].
En février 2006, Khaled Mechaal, chef du bureau politique du Hamas, réitère la proposition de Hudna et de mettre fin à la lutte armée si Israël se retire de tous les territoires occupés et reconnaît les droits du peuple palestinien[18]. Le Premier Ministre par intérim, Ehud Olmert, exclut pour sa part toute négociation avec le Hamas : « Nous ne négocierons pas et nous ne traiterons pas avec une Autorité palestinienne dominée totalement ou partiellement par une organisation terroriste » [19].
L'objectif du Hamas est le réétablissement d'un État Souverain sur le territoire actuellement constitué d'Israël, la Bande de Gaza et la Cisjordanie (d'après les frontières d'avant 1967)[réf. nécessaire]. Dans l'accomplissement de ce but, le Hamas soutient son droit à la lutte armée. Selon certains médias[20], Abdel Aziz al-Rantissi, l'un des cofondateur du Hamas, assassiné par Israël comme son prédécesseur, a affirmé que le but de l'organisation était d'« effacer Israël de la carte » afin de pouvoire refonder l'Etat Palestinien qui y existait jusqu'alors. Exercice du pouvoir
Ismaïl Haniyeh est désigné par le Hamas pour former un nouveau cabinet de l'Autorité palestinienne. Élections législatives et présidentielle de 2006-2007
Depuis l'élection ayant porté au pouvoir le Hamas, c'est la crise en Palestine : fin des subventions internationales, de nombreuses attaques de la part d'Israël et, plus récemment, des attaques bilatérales entre les deux principales factions palestiniennes, soit le Fatah du président Mahmoud Abbas et le Hamas du premier ministre Ismaïl Haniyeh. Constatant l'échec des négociations Fatah-Hamas, le président Abbas menace à la mi-décembre de déclencher des élections législatives anticipées, bravant ainsi la Loi Fondamentale (Constitution Palestinienne) qui n'accorde qu'au Conseil Legislatif cette prérogative. Le Hamas rejette la décision d'appeler à de nouvelles élections législatives (ce qui n'est en effet pas dans les prérogatives du chef de l'Autorité palestinienne)[réf. nécessaire]. Quoiqu'il en soit, Abbas n'a toujours pas agi dans ce sens et les négociations ont abouti à un Accord sur un gouvernement d'union nationale palestinien entre Hamas et Fatah. Prise du pouvoir dans la Bande de Gaza
Malgré cet accord, Mohammad Dahlan, chef de la Sécurité Interieure (membre du Fatah), accentue les tensions et les amplifie pour leur faire atteindre leur paroxysme en juin 2007. Ainsi, le 15 juin 2007, suite à ce qui s'apparente à une guerre civile entre le Hamas et le Fatah, qui occasionnera 113 morts, les force de sécurité prennent le contrôle de la bande de Gaza, évinçant totalement le Fatah du territoire.
Le 17 juin, le président Mahmoud Abbas limoge Ismaïl Haniyeh de son poste de Premier ministre, nommant à sa place le ministre des Finances Salam Fayyad. Ce nouveau gouvernement siégeant à Ramallah et contrôlant la Cisjordanie n'est pas reconnu par le Hamas, car la Loi Fondamentale impose au Président en cas de limogeage du Premier Ministre, de le remplacer par un membre de la majorité parlementaire, à savoir le Hamas, or le parti de Salam Fayyad n'a obtenu que 2% de suffrage aux legislatives contre 56% pour le Hamas, ce qui mène à la scission de fait des Territoires palestiniens en deux entités distinctes.
Suite à ces évènements, des divergences apparaissent au sein du Fatah, resté au pouvoir en Cisjordanie quant à l'attitude à adopter. Le président M. Abbas refuse catégoriquement tout « dialogue avec les putschistes, les assassins, les terroristes », qualifiant la prise de contrôle du Hamas de « plan pour diviser Gaza et la Cisjordanie et établir un Emirat, un mini-Etat, contrôlé par un seul groupe, ses fanatiques et ses fondamentalistes ». D'autres, tel Marouan Barghouti, critiquent fermement le coup de force du Hamas à Gaza, tentant cependant de conserver l'objectif de l'unité des Palestiniens.[] | |
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