Systèmes de Sécurité

Le sécuritycode est un boîtier composé d'un pavé numérique et d'une à six touches alphabétiques. Ce système est la version la plus courante de protection de zone. Certaines versions du securitycode, comme celles destinées à l'usage public, ne sont pas protégés, d'autres, de beaucoup plus haut niveau, possèdent un système anti intrusion empêchant que le boîtier soit ouvert...

Normalement, la grande majorité de ces serrures à code est relié à un ordinateur central d'une manière passive c'est à dire que le boîtier de lecture du code est à même de déclencher l'ouverture sans demander la confirmation au système central. Cette technique ets due au fait que si un problème arrive à l'ordinateur central, il faut que le personnel puisse continuer à se déplacer pour au minimum aller réparer...

Pour franchir ce système, quatre possibilités existent :

• Ouvrir le boîtier et provoquer un court-circuit. Cette solution aura un défaut (le déclenchement quasi automatique de l'alerte) et une qualité (la rapidité d'exécution).
  
• Ouvrir le boîtier et relier un oscillographe : la réponse électrique ne sera pas identique s'il s'agit d'un des éléments du code ou s'il s'agit d'un autre élément. Seul défaut de ce système, la durée : cette solution est très lente (près de 10 minutes) et risquée (certains systèmes ne permettent qu'un nombre restreint de tentatives avant de déclencher l'alarme)...
  
• Relier un décodeur. Certains appareils à code possède sur l'arrière une prise jack pour relier un lecteur testeur et en ce cas, c'est véritablement le plus facile... Dans d'autres cas, il suffit de poser le décodeur sur la face avant du boîtier et des impulsions enverront le bon code après l'avoir trouvé. L'opération d'un décodeur dure environ 3 minutes bien qu'il existe des version surpuissantes capable de trouver un code en moins de 10 secondes...
  
• Poser une couche de poudre ou de poussière et regarder quelles sont les touches avec des empreintes. Seul défaut : la plupart de ces systèmes ont un ordre quant à l'appui des touches et la méthode des empreintes ne permet pas de le connaître...
  

CardCode (Serrure à carte magnétique, N. II)

Le CardCode est une invention récente, apparue avec la prolifération des cartes magnétiques. Il s'agit d'un lecteur de carte magnétique (avec ou sans puce) qui désactive une alarme ou une protection lorsque la carte permet d'accéder à ce niveau... Différentes versions de CardCode existent et la plus performante est celle qui est reliée à un EyeCode, c'est à dire que la serrure à carte magnétique n'a pour effet que de faire apparaître le lecteur d'analyse rétinienne. Bien que de technologie récente, ce système de protection est presque un des plus faciles à passer. Actuellement de simples étudiants en informatique sont à même de pouvoir relier une fausse carte, avec ou sans puce à un ordinateur, de l'insérer dans un lecteur, quel qu'il soit et de lancer un programme de décodage... bien évidemment, la présence d'une puce rend cette méthode un peu plus difficile mais il est maintenant si facile d'en faire des copies... Un exemple récent : La Société Walton dans l'état du Nevada a récemment été complètement visité par des voleurs qui en ont profité pour dérober les plans de six projets secrets de l'armée... Ils ont pour cela tout simplement récupéré la carte du dirigeant de la société pendant quelques minutes alors qu'il était occupé à d'autre jeux moins intellectuels, en ont réalisé une copie, puce comprise et se sont rendus dans les locaux où ils n'ont pas eu de mal à éviter les gardiens et les systèmes de télésurveillance... Pour la petite histoire, le dirigeant a même été suspecté pendant un temps par les services secrets américains et c'est la jeune femme avec qui il était qui lui a servi d'alibi (alors qu'elle faisait partie de l'équipe des voleurs, amusant, non ? )...


Sonic Codes (serrures à numérotation sonique, N. II)

Le Sonic Code est un système de sécurité des plus rares car il se base sur l'émission de signaux sonores.

Digicodes (serrures à empreintes digitales, N. III)

Le digicode est un système d'ouverture de porte composé d'un boîtier et d'un pavé tactile analysant les empreintes et les comparant à une base de donnée normalement limitée à un trentaine de personne. Ce système est utilisé dans les zones de hautes sécurités mais il ne peut servir dans les cas où la pressurisation de la pièce est anormale ou encore lorsque les personnes se doivent de porter des gants ou des combinaisons spéciales (zone de sécurité radioactive, zone de recherche en virologie, ...).

Pour passer ce système sans difficultés, il suffit de mettre dessus un peu de poudre ou de plâtre puis quelque chose de plat ou tout simplement un tissu (bien à plat). Ensuite, il suffit de poser sa main et normalement le système devrait reconnaître l'empreinte de la personne entrée précédemment... Le seul défaut de ce système, c'est lorsque ce digicode est relié à un ordinateur central et que ce dernier fait en permanence le compte des personnes présentes : il risquera alors de s'apercevoir qu'une personne est entrée deux fois sans être sorti...

Eyecode (Serrure à Analyse Rétinienne, N. IV)

Les serrures à analyse rétinienne sont d'un usage très rare. Elles sont normalement dédiée aux zones de sécurité maximale mais elles nécessitent une personne pour expliquer le fonctionnement. Ce système se compose d'un masque facial et d'une micro caméra rétinienne...

Pour pallier à ce système de sécurité, il n'existe que deux possibilités :

• L'utilisation de lentilles de contact répliquant l'empreinte rétinienne d'une personne autorisée.
  
• Le piratage du système par l'utilisation d'un ordinateur et d'un logiciel recomposant l'empreinte ou la possédant déjà...
  

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Il offre une détection linéaire à l'aplomb d'une zone interdite grâce à des émetteurs et à des récepteurs placés de part et d'autre de l'espace concerné. Tout élément physique est aussitôt détecté s'il pénètre dans l'axe des rayons invisibles. Très efficace en particulier dans un lieu ouvert (toit, escalier, ...), l'équipement reste onéreux .



Rayons Lasers de protection (N. III)

Les rayons lasers de protection sont une création militaire destinée à rendre infranchissable une zone ou un bâtiment. Contrairement aux rayons infrarouge dont le but est de détecter un passage, les rayons lasers sont visibles et dégagent autour d'eux un crépitement significatif... Normalement, ces derniers sont reliées à un boîtier de commande où l'introduction d'une carte, d'un code ou d'une empreinte pourra suspendre temporairement ces rayons... Dans certaines bases ultra secrètes, il n'existe pas de boîtier de commande, les rayons étant directement pilotés par la salle de contrôle qui visualise grâce à une caméra les personnes désirant passer...


Les rayons laser sont un système de protection des plus efficaces car rien ne peut les passer sans se faire griller... Très souvent ces laser sont présents dans des installations militaires. Certains systèmes sont reliés au reste du système de protection, d'autre non... Dans ce dernier cas, il doit automatiquement y avoir un boîtier de commande à proximité pour les couper...

Dans l'autre cas, il ne nous reste que deux options possibles :

• Si l'on a été prévenu à l'avance, il suffit d'emporter des miroirs réflechisseurs spécialement traité pour pouvoir résister à ces lasers... Il suffit alors avec tout un système de positionnement de miroirs de détourner les rayons vers des intermédiaires et les renvoyer à leur récepteurs... Attention, pour ne pas brusquer le système et déclencher une alarme si elle est reliée il faut créer tout un support métalliques sur roulette pour glisser tous les miroirs au même moment...
  
• Si l'on n'a pas le matériel nécessaire, il suffit tout simplement de trouver les toilettes du lieu en question ou encore n'importe quel bout de miroir que l'on vas attacher sur un manche quelconque. En dirigeant le miroir vers la zone émettrice, il y a de grandes chances que cette dernière explose libérant ainsi un passage. Seul défaut de ce système : il donnera l'alarme s'il n'est pas autonome (ce qui sera presque jamais le cas dans des installations militaires...
  

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Les détecteurs de chaleurs sont des caméra analysant les zones de chaleurs d'une pièce donnée. Cette caméra est automatiquement reliée à un système informatique pour l'analyse des données. Ce système permet de déclencher une alarme dans le cas ou une zone de chaleur se déplacerait. Dans la plupart des cas, une température de 37-38deg. déclenche automatiquement l'alarme ce qui oblige à modifier ce système dans des zone de haute température... Il existe certaines combinaisons thermiques régulant la température mais très souvent cette méthode ne peut être utilisée qu'avec un dérèglement de la température de la pièce, c'est à dire que l'on va très lentement faire monter la température de la pièce jusqu'à 27deg.C, température normalement générée par les combinaisons... Or pour ne pas déclencher l'alarme, il faut que ce mouvement de température ne soit pas supérieur à plus d'un 1/2 degré par 10 minutes...

Ils sont utilisés uniquement dans les vitrines étanches. Après avoir provoqué artificiellement une suppression dans la vitrine, celle-ci devient sensible à la moindre ouverture ou au bris de la vitre.

Ce système de protection sous verre est tellement particulier qu'il n'existe que deux solutions à ce niveau :

• Couper le dispositif de pressurisation mais ceci déclenchera quasi automatiquement l'alarme.
  
• Utiliser la Boite de Macaulay (voir le schéma technique de la boite), boite transparente d'un concept assez particulier que l'on va pressuriser au même niveau que la zone vitrée. Cette boite est composée de deux zones séparées par un sas de résine. La première zone est creuse en on la pose sur la vitre pressurisée. A l'aide d'une résine qui sèche en une minute on va ainsi créer une zone que l'on pourra pressuriser à volonté. La seconde zone contient un bras télécommandé avec trois ou quatre pinces et l'appareil servant à pressuriser ou dépressuriser la zone. Quand la boite est pressurisée, il suffit tout simplement de découper la vitrine avec le bras, l'alarme ne se déclenchant pas puisque la pression est la même, de prendre le ou les objets avec le bras et enfin de refermer le sas, dépressuriser la seconde zone et défaire les crochets pour récupérer le contenu.
  

Détecteurs Electromagnétiques (N. II)

Ce système interactif, sans doute le plus performant actuellement, permet une détection d'intrusion en 3D. Un rayonnement électromagnétique composé de molécules conductrices de l'électricité présente dans l'air, dans les métaux ou les tissus biologiques forme une sorte d'enveloppe protectrice autour de l'œuvre. Il est engendré par un boîtier électronique que l'on peut disposer discrètement jusqu'à 300 mètres de l'œuvre. Ce système s'applique à des volumes de 1 à 300 m[[twosuperior]] et concerne aussi bien statues, tableaux et même bijoux.

Le seul défaut de ce système vient justement de sa technique. La zone électromagnétique est générée par un boîtier de commande se trouvant au maximum à 300 mètres... Par là même, il suffit de trouver le boîtier pour éteindre la détection, sans pour autant déclencher l'alarme. Dans le cas où le boîtier ne peut pas être manipulé, il ne reste plus qu'une seule possibilité pour se débarrasser d'un tel système : créer une micro coupure de courant. En effet, suite à cette coupure, le système est obligé de se réinitialiser (ce qui prend entre 5 et 15 secondes selon les modèles), laissant ainsi le temps de remplacer l'objet par un autre de taille similaire. Il est important que cet objet de remplacement possède également ces molécules conductrices...

Détecteurs Sismiques (N. III)

Ils réagissent à la moindre variation d'inclinaison d'un tableau. Par exemple, lors de la découpe d'une toile. Ce système n'empêche pas le vol, mais déclenche une alarme censé dissuader le voleur de poursuivre sa tentative. La seule solution pour passer un détecteur sismique est de lui mettre un leurre c'est à dire qu'il faut trouver la connectique reliant à l'objet protégé, connecter un leurre sur potentiomètre électronique (car il s'agit de celui créant le plus faible différentiel électrique, normalement indécelable par les systèmes de régulation classique) puis, très lentement, varier le courant électrique de l'objet vers le leurre grâce au potentiomètre. Pour ne pas déclencher l'alarme, il faut opérer tout en douceur (c'est à dire qu'il faut près de deux minutes pour agir).

Détecteurs Infrarouge passifs (N. II)

Ils protègent une zone bien délimitée. Equipés de lentilles directionnelles, ils fonctionnent souvent en mode rideau. Ils ont la particularité de détecter les mouvements de chaleur, provoqués par exemple par le passage d'une personne, grâce à des capteurs pyroélectriques. Ce système est surtout utilisé dans la protection nocturne du musée. Pour passer des détecteurs infrarouge passifs, il suffit tout simplement d'être équipé de lunettes infrarouge permettant de visualiser ces fils intangible et ensuite d'être assez agile pour les éviter puisqu'il existe souvent des failles dans le positionnement de ces rayons infrarouges......

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Ils sont un élément indispensable à la sécurité des musées. Routine et manque de formation limitent leur efficacité.

Pour passer des gardiens, je n'ai pas vraiment besoin de vous expliquer comment faire, le nombre de solutions étant infinie : on les achète, on les incapacite, on les tue, on note leurs heures de passages, ... mais toutefois, un gardien n'est jamais seul et par là-même il vaut mieux éviter de le faire disparaître pour deux raisons :

• Le combat peut produire du bruit qui attirera les autres gardiens ou déclenchera l'alarme.
  

• Les autres gardiens risquent de s'inquiéter s'ils ne voient pas un de leurs collègues revenir... S'ils ne déclenchent pas l'alarme, ils se déplaceront et imaginez un peu votre surprise alors que vous être en train d'ouvrir un coffre lorsque vous voyez débarquer six à huit gardiens cherchant leur collègue...
  

Dernière possibilité à ce niveau-là qui est un peu vicieuse mais qui marchera dans le cas où vous ne pouvez pas vous débarrasser d'un système de sécurité particulièrement pénible : Faire disparaître un gardien (à vous de lui faire croire que quelque chose lui est tombé sur la tête. Devant son absence, ses collègues vont se déplacer jusqu'à lui, laissant le poste de sécurité avec au maximum un gardien... Il ne reste plus qu'à s'y introduire, couper le système d'alarme gênant et partir récupérer l'objet de tant de convoitises...




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Pour être réellement efficace, elle doit éviter les angles morts et être couplée à d'autres systèmes de sécurité. Handicap majeur du système : Suivre les écrans avec attention sans que la somnolence gagne les surveillants. Pour y remédier, un détecteur de présence ponctuel avertit le surveillant de toute intrusion.

Toutes les caméras fonctionnent sur un axe de rotation et il suffit quand la caméra se trouve à une des extrémités de sa rotation de mettre une entrave pour ainsi posséder un angle non couvert par la caméra et pouvoir agir à volonté dans cette zone. Ce système fonctionne dans le cas où la zone à occulter se trouve proche d'une des extrémités.

Dans le cas où la zone " protégée " que l'on désire occulter se trouve dans le grand angle, deux option peuvent être choisies :

• Le bon vieux Polaroïd avec lequel on prend une photo de la zone (uniquement dans le cas de caméras statique) que l'on place à une distance variant entre 3 et 5 cm de l'objectif de la caméra...
  
• Une seconde caméra placée au dessus de la caméra de surveillance (sur le même axe de rotation)... On enregistre une séquence de cinq ou dix minutes de boucle que l'on passe en boucle et avec l'aide d'un rétroprojecteur. Certaines caméras peuvent même être repiquées vers une autre source audio...
  

L'avantage de positionner la nouvelle caméra sur le même axe de rotation est que, sauf maladresse de la personne qui la pose, l'agent de sécurité n'y verra que du feu... La dernière possibilité est bien évidemment de brouiller la caméra en la rendant H.S. ou la bloquer complètement sur l'axe mais ces deux dernières possibilités vont entraîner une réaction de la part des services de sécurité...

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Les sas à sens unique (N. III)

Les sas à sens uniques sont des passages destinés à réguler la circulation d'accès à un lieu spécifique. Ce type de sas est surtout utilisé dans les banques car associé à une caméra, il permet de visualiser les personnes entrant et les bloquer dans le sas lorsque cette dernière peut être dangereuse... L'ouverture d'un sas à sens unique se fait par un système hydraulique relié soit à un système de détection des personnes soit à un bouton se trouvant un agent de sécurité qui en profite ainsi pour examiner la personne qui rentre... La seule solution pour franchir sans encombre un sas à sens unique est d'établir une dérivation et la piloter par un petit boîtier ou plus simplement par une télécommande, ce qui permet ainsi de gagner du temps lorsque l'on doit rentre prestement...

Les sas pressurisés (N. IV)

Les sas pressurisés sont réservés aux endroits à risque c'est à dire les laboratoires de recherche et les lieux nécessitant des atmosphères stériles par exemple. Ces sas possèdent des portes blindées avec la plupart du temps un hublot en verre minéral blindé.

Les Portes Electroniques (N. III)



Les Portes Anti Explosion (N. III)

Les portes anti Explosion sont des portes renforcées par plusieurs plaques d'alliage (voire de Kevlar dans de très rares cas) qui sont gérés directement par le système d'alarme de la base. Normalement, ces portes sont reliées à un SecurityCode ou un CardCode. Le mécanisme d'ouverture de ces portes est directement intégré dans la porte elle-même ce qui renforce encore sa solidité. L'épaisseur d'une porte anti Explosion est d'environ 90 cm...

Les portes anti explosion sont les seules portes sur lesquelles on ne peut pas agir hormis en utilisant, s'il y en a un, le système de code reliée à cette dernière. Ces portes sont auto alimentées par un générateur intégré à la porte, comme le système hydraulique d'ouverture L'efficacité des matériaux utilisés pour la construction de ces portes est à même de résister à une explosion d'un pain de C4, actuellement un des plus puissants explosifs...

Les Plaques sensitives au Sol (N. IV)

Les plaques sensitives sont une série de dalles tactiles reliées à une alarme le plus souvent muette pour prévenir les agents de sécurité d'une intrusion maintenant il existe une version plus dangereuse de plaque sensitive déclenchant un courant de 20000 Volts sur toutes les plaques dès que quelque chose les effleurent... Dans ce second cas, un boîtier de commande se trouve juste à proximité pour permettre la désactivation du passage...

La présence d'une telle zone dans un complexe ou aux abords de ce dernier est une plaie pour les intrus car elle nécessite soit de grande quantité de matériels soit de grands talents de funambules, ce qui n'est pas toujours le cas des voleurs...

Le meilleur système pour passer cette zone dépendra de la configuration de la zone elle-même :

• Dans le cas où un plafond est présent, un système d'accroches au plafond avec une corde synthétique (voir le film très navrant d'ailleurs de Mission Impossible) peut être efficace mais il faut faire très attention aux objets qui peuvent tomber
  
• Dans le cas d'une zone en extérieur ou sans la possibilité de s'accrocher au plafond, il faut trouver de qui tendre une corde extrêmement solide et jouer à l'équilibriste... Autre solution plus facile, utiliser une double arbalète utilisant des fils d'acier tressés : les deux fils une fois plantés dans le mur permettront de positionner des plaquettes métalliques servant de petit pont...
  
• Dans le cas où la zone au sol est électrifiée et non reliée à une alarme, il existe une troisième solution que je ne conseille pas bien qu'elle ait déjà été utilisée 4 fois sur dix avec succès (inutile d'expliquer le résultat des autres tentatives...). Il s'agit de bottes composées d'un revêtement non conducteur mais voir crépiter des éclairs jusqu'à 10 cm au dessus du sol peut provoquer une certaine frayeur...
  

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Les alarmes sonores classiques ont un effet unique : faire fuir le voleur et appeler la sécurité sur une zone définie pour appréhender le malfaiteur...

Le but des alarmes silencieuses est un peu différent des alarmes classiques puisqu'elles sont reliée au service de sécurité ou le plus souvent au commissariat de police le plus proche. Le but de cette alarme est donc de faire prendre la personne en flagrant délit... Ces alarmes sont également utilisées dans ces zones de sécurité maximale pour savoir si quelqu'un y pénètre...

Les alarmes incapacitantes sont une version évoluée des alarmes sonores classiques si ce n'est que les fréquences émises ne sont pas perçues par l'oreille mais vont provoquer des pertes de conscience ou un dérèglement de l'oreille interne (et il est plus difficile de fuir lorsque l'on a du mal à ramper...).

Une autre version de l'alarme sonore incapacitante, moins onéreuse, est la version reliée à des haut parleurs tellement puissants que la personne se trouvant dans la zone se verra obligée de fuir si elle ne veut pas sombrer dans l'inconscience... Contrairement à la seconde version de l'alarme incapacitante, la première est plutôt destinée à des lieux ou le silence doit être absolu où à des lieux ne pouvant pas se permettre de faire savoir qu'un intrus se trouve entre leurs murs...

Les alarmes lumineuses sont des versions extrêmement rares car particulièrement onéreuses et demandant des générateurs électriques très largement supérieur à ce que peut supporter une maison ou un magasin. Lorsque l'alarme est déclenchée, des flash placés un peu partout dans la zone se déclenchent provoquant chez les personnes des troubles pouvant aller jusqu'à l'évanouissement...

L'alarme à gaz est la version la plus dangereuse des alarmes car bien que dans les versions les plus simples, le gaz ne soit qu'un incapacitant ou un lacrymogène, certains lieux que j'ai déjà visités possédaient des versions neuro-toxiques (sympathique non ?).

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