Se former aux gestes de premier secours : un acte responsable qui peut sauver...

Se former aux gestes de premier secours : un acte responsable qui peut sauver des vies

Pour la première fois à Boulogne, dans le cadre de la 6e édition de la journée mondiale des premiers secours, la Croix rouge proposait gratuitement à tout public de s'initier aux gestes qui sauvent.

« La France est très en retard dans ce domaine, seuls 27% de la population francaise sont formés aux gestes de premier secours. Or, tout le monde peut être un jour le témoin d'un accident ou d'un malaise sur la voie publique » regrette Thomas Lambert, directeur local de l'urgence et du secourisme à Boulogne. Souvent, la victime est un proche : parent, enfant ou ami. Quels sont les bons gestes à adopter dans pareil cas ? C'est dans ce but que formateurs et secouristes de la Croix-Rouge ont installé samedi leur village sur le quai Gambetta. Les personnes intéressées ont pu s'initier à la pratique du bouche à bouche, du massage cardiaque, employer la position latérale de sécurité et découvrir le défibrillateur. Depuis peu, les lieux publics sont équipés de ces appareils entièrement automatisés. En cas d'arrêt cardiaque ou respiratoire, une intervention rapide permet de maintenir la personne en vie en attendant l'arrivée des premiers secours. Une information sur l'alerte et la protection ainsi que la présentation de l'ambulance et du poste de secours fictif installé pour l'occasion complétaient le parcours des apprentis-secouristes. « Notre objectif : qu'un maximum de gens passe le PSC niveau 1 (brevet de secourisme), mais aussi faire connaître la délégation Croix-Rouge de Boulogne car nous manquons de bénévoles pour nos actions » déclare Laurent Evrard, responsable local des activités sociales. En effet, outre ses actions secouristes, l'organisme s'investit dans de nombreuses missions comme l'aide alimentaire et vestimentaire, les conseils éducatifs et la réinsertion sociale. •

Source : lavoixdunord.fr

C'est pour cela que j'avais passé mon AFPS, car je trouvait qu'en tant que pros je devais savoir portér secours, apres l'engrenage CFAPSE et 8 ans de secourisme.

Juste mon avis personnel :

Ca sert à rien de passer son PSC1 sans qu'il y ai pratique ensuite.

En effet, le PSC1 s'oublit si on ne pratique pas et pire que ca, parfois, des personnes détenteurs du PSC1 (qui ne font pas de bénévolat secourisme / pompier etc.) oublient la hiérarchie secouriste et font pire que mieux.

Exemple: je suis CFAPSE recyclé PSE 2 et secouriste bénévole depuis 2003. Combien de fois ai-je été témoins de malaise dans des magasins où les agents de sécu font "comme on leur a appris" mais mal même très mal (peut de pratique en vraie, pas de rappel de formations etc.) J'ai du quasiment passer par la force pour leur dire de me laisser faire mais qu'ils m'aident quand même (but du travail d'équipe)

Bon, c est un exmple parmis tant d'autres mais pour mon avis personnel, passer son PSC1 sans pratiquer / faire des révisions avec des professionnels de la santé, pour moi, c est meurtrier.

PSC 1 : on masse sans prendre de pouls (si ca se trouve, la victime est en arret respiratoire mais son coeur bat en coeur, résultat du compte, la vicitime est tuée par le sauveteur. Ne me dites pas que c est rare, quand on est témoins d'un arret, la vicitime est souvent en arret respiratoire mais pas ventilatoire. Ayant de la famille dans le médicale et moi-même ayant participer a plusieur réanimations, je suis bien placé pour le savoir)

Je n'ai pas aussi parlé du stress qui fait que, un PSC1 agissant rarement (car pas d'expérience dans le domaine du secourisme) qui a une bouffée de stress devant un malaise et qui sait qu'elle doit faire et qu'elle doit savoir faire car, PSC1 et c est son boulot, va réaliser du presque n'importe quoi qui peut faire du pire que mieux.


Agent de sécurité => PSC 1 => un malaise => je dois faire et je dois savoir faire car j'ai appris et c est mon travail :

Solution 1 : (97% du temps) je suis stressé (soit je fais du grand n'importe quoi (80% du temps) soit je réalise du approximatif et ca tombe bien parce que ca fonctionne ou alors je prévois qu'il est judicieux d'appeler le 15 tout de suite pour que je sois guidé (très bon a faire quand on est stressé mais ca ne se voit que très rarement, des agents préfèrent faire leur assaisonement )(20% du temps)

Solution 2 : (3% du temps) je ne suis pas ou moins stressé car je suis, parallèlement je suis secouriste bénévole ou pompier volontaire : je réalise mieux l'intervention e je fais suivre comme on m'a appris dans mon cadre de travail (relation 15 s'en suit.)

Ma critique porte sur :

l'organisation par la formation (pas ou peu de révisions, formation PSC1 trop peut dévellopée voir meurtrière)

l'organisation par l'agent (se contenter d'agir que par le PSC1 et ne pas tenter le bénévolat (secourisme) et passer les autres diplomes (PSE 1/ PSE 2)

Voili Voiloux...

Ne le prenez pas méchant mais sachez qu'actuellement nous en sommes là et que vous devez être curieux, prendre de l'avant, ca sera toujours un plus pour votre métier.

Dites, je rajoute la chose suivante :

Face à (c'est la cas qui se présente la plus souvent) un malaise d'origine repsiratoire :

La position 1/2 assise est quasiment toujours respectée : bravo
Ce qui est moins respecté, c est que les agents, en général, n'osent pas, tout en parlant à sa victime : déboutonner le premier bouton du pentalon et, pour les filles, dégrafer le soutien-gorge.
Vous en avez le droit et le devoir, n'hésitez pas, vous êtes protégés par votre formation en cas de pleinte mais parlez toujours avec votre victime.

Pour ceux et celles qui ne savent pas quoi dire à sa vicitime, le minimum est de poser les 5 questions fondamentales (1ère fois ? Médicaments ? depuis combien de temps ? Hospitalisation récente ? Traitement particulier ?) et d'expliquer ce qu'ont fait à sa victime.
Une fois que vous avez ça en tête, vous vous rendriez compte que votre dialogue sera déjà un énorme pas. Ensuite, des petites phrases pour rassurer. Vous pouvez tenir jusqu'à la prise en charge des secours.

Et franchement, peut être que la plupart des agents qui lisent mon sujet ne vont pas se sentir concernés par le stresse qui résulte au grand n'importe quoi.

A ça, juste une chose, n'attendez pas de tomber sur des victimes pour réaliser que, peut-être, vous auriez dû m'écouter.

Le stresse est humain, même moi je stresse devant certaines situations. Mais il existe des méthodes, citées plus haut, pour atténuer le stresse, voir, le combattre

Et mettez vous dans le même esprit que moi : ce n'est pas une hémoragie, ou un Arret Cardio Respiratoire qui peut me faire stresser plus qu'un simple malaise.

NON ! !! : c est tout ce qu'il y a autour (raisons professionnelles, personnelles, familles, amis etc)

Pour exemple : j'ai pris en charge un Arret Cardio Respiratoir jusqu'à l'arrivée des secours, je n'ai pas du tout stressé avant l'arrivée des secours (j'avais passé une bonne soirée au travail) A l'arrivée du médecin, j'ai commencé a stressé légèrement. Le médecin a vu comment je me débrouillé sur le massage et il m'a fait confiance et m'a dit de faire des gestes complexe pour que l'infirmière anestésiste puisse poser une voie. Sur le coup, j'ai stressé mais par la suite, l'infirmière m'a dit que je faisait ça bien, mon stresse est partis.

Maintenant, je suis félicité par le Médecin et par les autres intervenants mais aussi par mon équipe de sécurité, j'ai sauvé une vie, encore une fois.

Je ne veux pas m'en venter mais je veux que vous compreniez que , par cette exemple, si je n'avais pas mon expérience de secouriste de terrain, cette personne serait DCD le temps que l'équipe médicale du SMUR l'a prennent en charge. C'est un exemple parmis tant d'autres.

Formez-vous, oui, mais ne vous contentez pas de votre formation d'agent ,allez chercher plus loin.

le problème est vrai dans les centres aérés et les colonies de vacances ; les moniteurs sont EX. AFPS mais n'ont pas été recyclés depuis des années alors lorsque tu interviens dans ces centres pour un problème tu as des surprises. cela devrait être obligatoire tous les ans avant de commencer à exercer leur métier de moniteur.