Hommage du Président Sarkozi aux soldats morts

Nicolas Sarkozy à Kaboul: la phrase qui fait tiquer le Net

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La séquence est passée au JT de France 2 et elle commence à tourner sur Internet. On y voit Nicolas Sarkozy, à Kaboul, le 20 août 2008, venu rendre hommage aux soldats tués dans l’embuscade meurtrière du 18 août.

Un discours durant lequel le président de la République a confirmé l’engagement de la France en Afghanistan. Mais ce n’est pas ça qui secoue Internet. Ce qui provoque des remous, c’est une petite phrase de Nicolas Sarkozy : «Si c’était à refaire, je le referai. Pas la patrouille...». Plus que les mots, c’est le ton qui peut choquer. Un petit rire, telle une plaisanterie. Devant les soldats français positionnés en Afghanistan, et qui viennent de perdre dix des leurs

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Voici la vidéo:
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Bon... s'agit il d'un rire nerveux, d'un effet du stress... peut être... mais regardez à l'arriére plan... à mon avis, il ne s'est pas fait de copain sur ce coup

Bon , oui , ok....
Perso , je n'y vois rien de choquant .. , il as son franc parler !
Un chose as ne pas oublier, c'est le seul président a remettre la plus haute distinction Française à des militaires ( Chevalier de la Légion d'Honneur) Mort aux combats ( il est vrai aussi, que cela ne raméneras personnes, helas !)

Ce petit bonhonne , nous l'accusont de tout les maux, Si il y as du chomage en France , c'est depuis t'il est au pouvoir, idem pour la délinquance, idem pour la monter du pris de l'essence, etc, etc ....

Il est impulsif, il ne fait pas forcement attention à ses propos , mais c'est le seul (ceci est un avis perso..) à foutre des coups de pied aux cul, la ou ça fait mal , et la France en as bessoin.

Maintenant, comme tu disait David40, sur un autre post, je ne souhaite pas polémiquer.

C'est mon avis perso, j'ai peut être raison ou peut être pas ... tanpis !

Oui, bon mais le problème c'est que nous avons eu dix soldats de l'IFOR sur le carreau et ca me fait pas rire. Sarkozy doit agir pour préserver nos hommes de la patrie francaise. Et pour les Afgans nous ne sommes pas les bienvenus meme pour une mission de paix.

c'est tellement facile de critiquer mais vous et la je dit bien vous ceux qui critique feriez vous mieux que lui ? sincerement laissez moi en douter .
il a eu un rire nerveux et cela arrive a tout le monde ,il as rendu hommage aux combattant et c'est sa qu'il faut retenir pas le reste .

blasonneur a écrit:: Oui, bon mais le problème c'est que nous avons eu dix soldats de l'IFOR sur le carreau et ca me fait pas rire. Sarkozy doit agir pour préserver nos hommes de la patrie francaise. Et pour les Afgans nous ne sommes pas les bienvenus meme pour une mission de paix.

mais moi non plus ca ne me fait pas rire.
Mr Sarkozy as redéfinie la mission de nos soldats la bas , ok ! mais ils etaient déja sur place avant que celui ci soit élu !
Et nos soldats faissaient déja des missions de renseignement sur place, ce qui as changer c'est que les Etat-Unis on redistribué le terrains , et ou il y as eu l'accrochage, cette zone etait à eux ! ( en un mot les ricains nous ont laisser un terrain merdique !)

ps: les anciens mili ayant encore des contact sur la place , confirmeront mes dire .

T'as bien parler.

DNITRO17 a écrit:: c'est tellement facile de critiquer mais vous et la je dit bien vous ceux qui critique feriez vous mieux que lui ? sincerement laissez moi en douter .
il a eu un rire nerveux et cela arrive a tout le monde ,il as rendu hommage aux combattant et c'est sa qu'il faut retenir pas le reste .

Perso, je n'ai jamais eu la prétention d'être Président de la République, moi...

De nombreuses zones d’ombre demeurent sur les circonstances de l’attaque des talibans qui a coûté la vie à dix soldats français :Les ministres français des affaires étrangères, Bernard Kouchner, et de la défense, Hervé Morin, devaient être entendus, mardi 26 août, par les commissions des affaires étrangères et de la défense de l'Assemblée nationale sur les conditions de l'embuscade du 18 août en Afghanistan, au cours de laquelle 10 soldats français ont été tués et 21 autres blessés.
La France est-elle "en guerre" en Afghanistan ?
Stricto sensu, la France n'est pas en guerre, puisque, selon l'article 35 de la Constitution, la "déclaration de guerre est autorisée par le Parlement". C'est pour éviter un tel dérapage sémantique que le premier ministre, François Fillon, s'est efforcé de ne pas employer le terme de "guerre".
Le général Jean-Louis Georgelin, chef d'état-major des armées, a cependant souligné, le 24 août, que la France "conduit des actions de guerre" en Afghanistan. Si, juridiquement, il ne s'agit pas d'une guerre, la France engage ses troupes sur un théâtre d'opération où se déroule un "conflit armé". Les autorités françaises, comme la plupart des gouvernements européens, ont longtemps présenté celui-ci de façon ambiguë à l'opinion publique : il s'agissait d'une opération de "stabilisation", voire de "maintien" ou de "restauration" de la paix.
A-t-on envoyé des soldats trop jeunes et mal préparés dans une opération dangereuse ?
C'est à 18 ans, âge de la majorité légale, qu'un jeune peut signer un engagement dans l'armée française - voire 17 ans avec l'autorisation de ses parents, mais aucun soldat ne peut partir en opération extérieure (OPEX) avant 18 ans. Si, comme toutes les armées occidentales, l'armée française a fait le choix de recrues jeunes, c'est pour des raisons d'endurance physique et afin que les engagés restent plusieurs années sous les drapeaux.
Une section comme celle qui a été prise sous le feu des insurgés afghans est composée d'un mélange de jeunes recrues et de sous-officiers d'expérience : l'adjudant et le sergent-chef qui encadraient les soldats français du 8^e RPIMa avaient plusieurs OPEX à leur actif. L'état-major des armées fait valoir que les risques inhérents au métier des armes sont expliqués aux recrues au cours de leur formation. Celle-ci est à la fois individuelle et collective et elle s'accompagne, avant un départ en OPEX, d'une "mise en condition opérationnelle". Cette formation dure au minimum six mois et une jeune recrue ne part pas en OPEX avant, en moyenne, un an de service.
Cette patrouille avait-elle été correctement planifiée ?
Plusieurs critiques ont été émises sur le fait que les lieux de l'embuscade n'avaient pas été reconnus préalablement par des hélicoptères. Cela aurait pu, en effet, être le cas. Depuis le début de l'engagement de l'OTAN en Afghanistan, le problème le plus récurrent est le manque d'hélicoptères. Le rôle des fantassins est de faire de la reconnaissance à pied, comme l'ont fait les éléments du 8^e RPIMa.
Le général français Michel Stollsteiner, qui commande les troupes françaises de la région de Kaboul, a indiqué que l'armée avait sans doute "péché par excès de confiance", cette zone ayant été inspectée "trois jours avant, sans problème". "Cette opération, reconnaît une source militaire, n'a pas été prise en compte comme une opération à haut risque. Des forces spéciales américaines étaient aussi présentes sur le terrain, et n'ont rien vu."
Il apparaît que l'état-major de la Force internationale d'assistance à la sécurité (FIAS, bras armé de l'OTAN) a sous-estimé l'évolution des tactiques employées par les insurgés et leur montée en puissance, en particulier dans la région de Kaboul. Jusque-là, ceux-ci avaient surtout recours aux IED (engins explosifs improvisés), qui explosent au passage des convois, aux attentats-suicides et aux escarmouches. Dire que cette embuscade souligne des carences en matière de renseignement est une "lapalissade", commente une source militaire.

Des frappes aériennes de l'OTAN ou des tirs de l'armée afghane ont-ils touché des soldats français ?
Six soldats blessés, interrogés mercredi 20 août par Le Monde à l'hôpital de Kaboul, ont indiqué que des tirs venant des unités afghanes en aval avaient visé leurs positions, de même que des frappes aériennes de l'OTAN. "Nous étions dispersés et très proches des insurgés sur la crête", ont-ils indiqué. Ils ne savaient cependant pas si ces "tirs amis" avaient blessé ou tué des soldats français. Le commandement français, le Pentagone et l'OTAN ont catégoriquement démenti que des tirs amis aient touché les troupes françaises. De sources militaires françaises, on souligne qu'il n'y a eu "aucun tir au sol dans la zone où étaient situés les éléments français".
Les avions F15 américains, envoyés en renfort, n'ont pas ouvert le feu devant la trop grande imbrication des soldats de l'OTAN et des insurgés. Seuls les avions A10 Thunderbolt ("tueurs de chars") américains ont effectué des tirs.
Les renforts sont-ils arrivés trop tard ?
Selon la première version des événements livrée, mardi 19 août, par le général Jean-Louis Georgelin, les soldats tombés dans l'embuscade "sont allés reconnaître à pied" le col "vers 13 h 30". "C'est alors qu'ils s'avançaient, a poursuivi le chef d'état-major des armées, que le feu nourri des forces insurgées s'est déchaîné." Il ajoutait que s'est ensuite engagée "une série de combats qui ont duré jusque tard le soir". Le général concluait qu'il a fallu "récupérer l'ensemble des blessés et des autres éléments de la section qui avaient été dispersés", ce qui a pris fin "à 2 h 30 du matin".
Les six blessés interrogés ont affirmé que leur unité est restée sous le feu ennemi "à partir de 13 h 30 et pendant près de quatre heures, sans renfort". "Les insurgés ont tiré pendant près de six heures avant que des tirs de mortiers venant de nos troupes ne les fassent cesser", ont-ils raconté. A Kaboul, lors d'une conférence de presse, le général Stollsteiner a assuré, sans contester l'heure du début de l'engagement, que "les renforts sont arrivés sur zone une heure et demie après le début des combats, mais n'ont pu être engagés immédiatement à cause de la supériorité des insurgés". Un de ses adjoints a précisé au Monde : "Je ne conteste pas les récits des blessés, mais si les renforts étaient sortis des véhicules blindés, le bilan aurait été beaucoup plus lourd."
Le 22 août, le cabinet du ministère de la défense diffusait une autre version des événements : les soldats auraient commencé leur progression vers 13 h 30, mais n'auraient été "pris sous le feu ennemi" qu'à 15 h 30. Les renforts seraient "arrivés sur zone vers 17 heures". Les premiers tirs de mortiers ont eu lieu à "18 h 25" et les échanges de coups de feu ont duré "jusqu'à 21 heures".
Le 25 août, des sources au ministère de la défense et à l'état-major des armées divergeaient toujours sur le début de l'attaque à 13 h 30 ou à 15 h 30.
A quel moment les soldats ont-ils été tués ?
Le général Georgelin a affirmé, le 19 août, que "le feu nourri a tué aussitôt neuf soldats dans les rangs français". Les blessés interrogés à Kaboul affirment que "les victimes ne sont pas mortes en même temps mais au fil des combats, jusque dans la nuit". Selon un autre témoignage de soldat, rapporté le 22 août par La Nouvelle République, il n'y a eu "à coup sûr" que "trois morts" au début des combats.
Le 22 août, le cabinet du ministère de la défense estimait que "les neuf militaires auraient été très rapidement tués". Le 25 août, une source au ministère de la défense assurait que six soldats sont morts "très vite, quasi simultanément". Sur la foi de "sources médico-légales", cette source confie que les dix soldats ont été "polycriblés", la plupart ayant en effet reçu plusieurs blessures.

Jacques Follorou et Laurent Zecchini

Le Monde, mercredi 27 août 2008

Cela fait quelques temps déjà que la 3ème guerre mondiale à débutée,il serait temps d'y prendre plein pieds maintenant.

Invité

La chair à canon : "allez y braves gens, allez faire la paix en Afghanistan
allez porter la bonne parole, vous reviendrez peut-être entre 4 planches,
c'est pas grave, on vous donneras des médailles en chocolat, vous n'êtes
pas formés, ce n'est pas grave, c'est pour la patrie, allez-y engagez-vous
qu'ils disaient, c'était en quelle année déjà...PAS LOL!

Moi je suis volontaire,mais ils veulent pas de moi... :goutelette:

meme pour tous l'or du monde j'refuserai categoriquement d'y aller c'est pas notre guerre pour moi c'est qu'une histoire de gros sous encore Hommage du Président Sarkozi aux soldats morts 820220

Hommage du Président Sarkozi aux soldats morts 820220

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claire a écrit:: meme pour tous l'or du monde j'refuserai categoriquement d'y aller c'est pas notre guerre pour moi c'est qu'une histoire de gros sous encore

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La lutte contre le terrorisme est la guerre de tout le monde que tu le veuilles ou pas.

La boîte de capotes ne vise jamais qu'à laisser en paix ceux qui sont assez malins pour ne pas venir séjourner sur notre planète, la bombe dissuasive, préventive ou comme remède ne vise qu'à apporter la paix à ceux qui l'encombrent.

"heureux sont ceux qui ne sont jamais nés" dit le sage.

Recycler les vivants en atomes est effectivement plus onéreux, le prix de la technologie comme toujours. affraid

ok avec bounty
et les gros sous claire faut pas se mentir nos soldat aussi y vont pour ca
et pour justifier des mois d entrainement galere
si on envoy pas non soldat sur des theatre d opérations comment seront ils entrainé au vrai combat
puis je suis ok la lutte contre le terorisme commence la bas
donc notre presence est justifié et nos soldat sont content d y aller pour les raisons cité (je suis un ancien je c tres bien ce qu on disait a l époque le reve c etait l ex yougo,et pas pour distribuer des sacs de riz ou soutenir pierre ou paul rien a battre (perso j etait pro serbe et j aurai du me friter avec eux si ils avait bougé) on y aller pour remplir notre mission,pour justifier l entrainement,pour la finalité de cet entrainement et esperere faire du "reel" ,pour les medailles qui font jolie sur le treillis et pour la THUNE!!!!
seulement le revers de la medaille c est qu il n y a pas de gueure sans mort
mais quand c chez nous on est surpris!!!
triste oui
surpris ou en colere contre notre gouvernement non (que je n aime pas plus que ca certains connaissant un peu mes idées)
en colere contre l exces de confience dont on a du faire preuve la oui un peu et contre l ennemie non pas d colere ni de haine juste envie de tous les exterminer car c le job et qu ils nous font chier c taliban!!!!!

titane a écrit:: qu ils nous font chier c taliban!!!!!

Si l'on doit mettre au pas tous ceux qui nous font chier, comme aurait dit le Général, c'est un vaste programme !

Non, je crois qu'à condition de ne pas être plus prétentieux que permis lorsque le bal est ouvert nous pouvons y inviter nos soldats ne serait-ce que pour les aguerrir et éventuellement les confronter .....à nos alliés. Car l'adversaire lui, le vaincre ou pas le vaincre n'est jamais le problème, ce seront les politiques et les affairistes qui règleront cela dans les antichambres des Grands de ce monde et autour d'un bon repas.
Le soldat qui ne connait pas le feu n'est jamais qu'un frusté bien que je ne réduise pas son rôle qu'à cela, ce n'est jamais lui que je plains mais ceux qu'ils abandonnent derrière lui, qui toujours sont suppris, et cela n'est pas propre qu'au soldat, les notres ne sont jamais qu'invité à notre destin si ce n'est que parfois ils en sont l'origine mais là ils devraient s'attendre...au pire !

ce qu'i c'est réellement passé est déja classé confidentiel défense avec un minimun de personnes concernées, alors inutile de faire des suppositions et d'imaginer des scénarios dans quelques années peût être en serons nous plus sans être pour l'un ou l'autre il faut juste lui reconnaitre qu'il a fait le déplacement entant que chef des armées pour le reste chacun y trouvera son "bonheur" plutôt sa version selon son camp... maintenant il ne faut pas oublier que nous avons une armée de métier ; mais le parlement doit^en être informé donc en conclusion laissons les chefs entre eux et attendons

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