Un Ads de la Brinks poignarde un usager !!!!

A toulouse dans le métro un ads de la BRINKS a mis un coup de couteau a un fraudeur lors d une rixe

DAVIDOU a écrit:

"A toulouse dans le métro un ads de la BRINKS a mis un coup de couteau a un fraudeur lors d une rixe "

!

Etait-ce son couteau ou celui du fraudeur ?

on ne sait pas l'ads est parti en GAV direct
il aurait subi des insultes et coursé des fraudeurs sur le quai
aprés résultat:1 bléssé
la brinks et Tisseo le client ne lesoutiennent pas trop

DAVIDOU a écrit:

A toulouse dans le métro un ads de la BRINKS a mis un coup de couteau a un fraudeur lors d une rixe

:meilleu:

Accueil » Grand Sud » Haute-Garonne
Publié le 27/02/2009 11:47 | Frédéric Abéla
Métro Balma-Gramont. Un vigile accusé d'agression au couteau


Un agent de sécurité de la Brink's en garde à vue après une rixe avec des fraudeurs.
La tension entre fraudeurs du métro et agents de sécurité est montée d'un cran à la station Balma-Gramont. Mercredi vers 19 heures, un vigile impliqué dans une rixe et aux prises avec trois jeunes garçons sur le quai du métro, aurait porté un violent coup de couteau à un membre de ce groupe qui n'avait pas de ticket. La victime a été grièvement blessée à l'abdomen et évacuée à Purpan. Âgé d'une vingtaine d'années ce garçon a été opéré d'urgence et placé hier aux soins intensifs. Quelques minutes après ce grave incident, l'agent de sécurité a été interpellé par les policiers. Hier, cet homme de 30 ans, employé par la Brink's, la société de surveillance travaillant pour Tisséo, se trouvait toujours en garde à vue au commissariat central. Le couteau, aperçu par de nombreux témoins lors de la rixe, n'a pas été retrouvé. Il constitue une pièce à conviction de premier plan pour démêler les fils de ce drame dont les conséquences auraient pu s'avérer tragiques.
insultes et bagarre


Souvent confrontés aux provocations d'usagers voulant rejoindre les quais sans valider le moindre ticket, les vigiles sont en première ligne dans ce genre d'affrontement. C'est ce qui s'est une nouvelle fois produit mercredi soir. Peu après 18 heures, trois jeunes garçons tentent par tous les moyens de sauter par-dessus les tourniquets du métro. À cette heure de grande affluence, le vigile ne relâche pas son attention et lance les premières admonestations en direction du groupe de fraudeurs. Des insultes fusent. Les trois usagers réussissent à passer les tourniquer sans payer et descendent vers le quai. L'agent de sécurité se lance à leur poursuite. Une bagarre éclate et au milieu des coups, le vigile aurait planté la lame d'un couteau dans le ventre d'un des jeunes fraudeurs. L'agent de sécurité était-il en possession de cette arme blanche ou l'a-t-il subtilisée à l'un des membres du groupe ? L'enquête des policiers de la sûreté départementale se poursuit. Le vigile, à cran, n'a peut-être pas maîtrisé ses nerfs. « Ici, il faut être constamment sur ses gardes, assure un agent de sécurité de la station. On doit dissuader les usagers de frauder sans pour autant se mettre en danger. Lorsque la situation dégénère, la consigne est d'appeler les agents de sûreté de Tisséo. » Une procédure stricte rappelée par l'exploitant lui-même. « Les consignes sont claires : il ne faut pas poursuivre les fraudeurs sur les quais », insiste l'opérateur de transports de l'agglomération toulousaine.
« Le vigile a eu toutes les formations »


Au total ce sont 162 personnes employées de la Brink's qui sont affectées quotidiennement à la surveillance du métro, ligne A et ligne B, à Toulouse. « Tous nos employés reçoivent une double formation pratique et théorique avant d'exercer leur activité », assure-t-on au siège de la Brink's, à Paris. L'agent de sécurité mis en cause « a été formé par nos soins », ajoute la direction de la société qui attend les conclusions de l'enquête avant de prendre d'éventuelles mesures. Une position également partagée par Tisséo. L'opérateur de transports analyse la situation. « Le vigile a peut-être perdu son sang-froid face à des jeunes qui l'invectivaient. »

et ben c'est finir pour lui le monde de la sécurité

stronghold a écrit:

et ben c'est finir pour lui le monde de la sécurité

Ca dépends,pour l'istant la seule chose à reprochée à l'agent est le non respect de la consigne..

le couteau a qui alors ??????

stronghold a écrit:

"et ben c'est finir pour lui le monde de la sécurité"

Pas forcément, il pourra bosser comme videur s'il veut rester dans la sécurité.

DAVIDOU a écrit:

on ne sait pas l'ads est parti en GAV direct
la brinks et Tisseo le client ne lesoutiennent pas trop

c'est pas étonnant de la part de la Brink'S !!!!

La tension entre fraudeurs du métro et agents de sécurité est montée
d'un cran à la station Balma-Gramont. Mercredi vers 19 heures, un
vigile impliqué dans une rixe et aux prises avec trois jeunes garçons
sur le quai du métro, aurait porté un violent coup de couteau à un
membre de ce groupe qui n'avait pas de ticket. La victime a été
grièvement blessée à l'abdomen et évacuée à Purpan. Âgé d'une vingtaine
d'années ce garçon a été opéré d'urgence et placé hier aux soins
intensifs. Quelques minutes après ce grave incident, l'agent de
sécurité a été interpellé par les policiers. Hier, cet homme de 30 ans,
employé par la Brink's, la société de surveillance travaillant pour
Tisséo, se trouvait toujours en garde à vue au commissariat central. Le
couteau, aperçu par de nombreux témoins lors de la rixe, n'a pas été
retrouvé. Il constitue une pièce à conviction de premier plan pour
démêler les fils de ce drame dont les conséquences auraient pu s'avérer
tragiques.

Souvent confrontés aux provocations d'usagers voulant rejoindre les
quais sans valider le moindre ticket, les vigiles sont en première
ligne dans ce genre d'affrontement. C'est ce qui s'est une nouvelle
fois produit mercredi soir. Peu après 18 heures, trois jeunes garçons
tentent par tous les moyens de sauter par-dessus les tourniquets du
métro. À cette heure de grande affluence, le vigile ne relâche pas son
attention et lance les premières admonestations en direction du groupe
de fraudeurs. Des insultes fusent. Les trois usagers réussissent à
passer les tourniquer sans payer et descendent vers le quai. L'agent de
sécurité se lance à leur poursuite. Une bagarre éclate et au milieu des
coups, le vigile aurait planté la lame d'un couteau dans le ventre d'un
des jeunes fraudeurs. L'agent de sécurité était-il en possession de
cette arme blanche ou l'a-t-il subtilisée à l'un des membres du groupe
? L'enquête des policiers de la sûreté départementale se poursuit. Le
vigile, à cran, n'a peut-être pas maîtrisé ses nerfs. « Ici, il faut
être constamment sur ses gardes, assure un agent de sécurité de la
station. On doit dissuader les usagers de frauder sans pour autant se
mettre en danger. Lorsque la situation dégénère, la consigne est
d'appeler les agents de sûreté de Tisséo. » Une procédure stricte
rappelée par l'exploitant lui-même. « Les consignes sont claires : il
ne faut pas poursuivre les fraudeurs sur les quais », insiste
l'opérateur de transports de l'agglomération toulousaine.

source la dépéche

Afin que tout le monde reste objectif,je tiens à signalé que pour le couteau personne pour l'instant ne sait d'où il vient.

lecor a écrit:

stronghold a écrit:

"et ben c'est finir pour lui le monde de la sécurité"

Pas forcément, il pourra bosser comme videur s'il veut rester dans la sécurité.

BOUNTYKILLER a écrit:

Afin que tout le monde reste objectif,je tiens à signalé que pour le couteau personne pour l'instant ne sait d'où il vient.

Le cas de figure posé par la posture condamnable et pour le moins mal venue de cet agent amène à une réflexion très classique sur l’usage de la force pour l’accomplissement d’une fonction de sécurité par des agents privés, ou publics d’ailleurs le traitement par la justice de ces cas n’étant pas aussi éloignés que l’on croit, en fait la seule différence, en dernière analyse, c’est « le préjugé favorable » au bénéfice du représentant de l’ordre public dont ne jouit pas l’agent privé et la difficulté d'aller à l'encontre des PV.



L'usage de la force, à plus forte raison des armes, implique le strict respect des principes de proportionnalité et de réversibilité. Cette dernière notion consiste pour les forces de l'ordre, ici les agents de sécurité, à être capable, dans un délai très bref et pour une durée très brève, de faire usage de moyens de coercition tout en conservant la possibilité de mettre un terme à cet usage dès lors que la situation ne le justifie plus.



Un agent privé ne peut faire usage de la force qu’avec une extrême prudence et une réflexion appropriée. En fait cela se réduit à deux cas,



1°- la mise à disposition d’un délinquant pris en flagrant délit auprès d’un OPJ le plus proche prévenu dans les plus brefs délais après l’action en cause et sous la condition très stricte que le délit relève d’une peine d’emprisonnement.



2°- la légitime défense à l’encontre de qui porte atteinte aux personnes ou aux biens dont ils ont la garde ou pour défendre leur propre intégrité physique ,



Pour la réflexion appropriée il faut que les agents connaissent les infractions pouvant conduire à des peines de prison et tout ce qui encadre la mise en œuvre de la légitime défense.



Ainsi retourner une arme abandonnée ou encore tenue par un agresseur, sauf accident, ne saurait être pris en considération que du fait que cet agresseur disposait d’une autre arme de même nature et menaçait clairement d’en faire usage ou à l’égard d’éventuels complices sous la même condition.



Quand à un éventuel armement porté ou à disposition de l’agent et qu’il serait tenté de mettre en œuvre la loi et le règlement encadre très strictement les conditions recevables y compris dans le cas ou un objet deviendrait une arme par destination.



Il revient aux consignes données aux agents de prévoir tous les cas de figures dans lesquelles ils peuvent se trouver confrontés et qu’ainsi ils puissent trouver rapidement la conduite à tenir.



Il semble que pour l’affaire en question la consigne était claire et dictait la bonne attitude.

Dans la dépeche du midi aujourd'hui :

l'agent de la BRINKS Toulouse a été différé au parquet et écroué !!!

dure dure pour la Brink's

Bavure, bavure quand tu nous tiens...

Quand c'est un représentant des Forces de l'Ordre qui commets une bavure, les journaux relatent les faits mais sont vite baillonnés.

Alors là, avec un Agent de Sécurité Privée, ça va être la nouvelle du mois.

Et encore ce mot "vigile"... Notre métier n'est pas prêt d'être reconnu!

J'espère fortement que les resquilleurs n'en profiteront pas...

ULYSSE-SECURITE a écrit:

Bavure, bavure quand tu nous tiens...

Quand c'est un représentant des Forces de l'Ordre qui commets une bavure, les journaux relatent les faits mais sont vite baillonnés.

Alors là, avec un Agent de Sécurité Privée, ça va être la nouvelle du mois.

Et encore ce mot "vigile"... Notre métier n'est pas prêt d'être reconnu!

J'espère fortement que les resquilleurs n'en profiteront pas...

Allons, Ulysse, j'espère que tu ne souhaites pas que les journalistes soient baillonnés ?

Un agent de sécurité du métro soupçonné d'avoir porté un coup de couteau dans l'abdomen d'un homme de 23 ans, mercredi, a été écroué vendredi soir, à l'issue de sa garde à vue. Poursuivi pour « violence avec arme », ce vigile de 30 ans, employé par la Brink's, la société de surveillance travaillant pour Tisséo, avait poursuivi jusqu'aux quais de la station Balma-Gramont, un groupe de fraudeurs (notre édition de vendredi). Les faits se sont produits mercredi, peu avant 19 heures. Posté devant les tourniquets de la station, le vigile est confronté à trois jeunes garçons démunis de ticket et voulant rejoindre le métro sans payer. Une situation « fréquente », selon un agent. Entre provocations et invectives, le groupe réussit toutefois à passer outre les admonestations de l'agent de sécurité qui décide de les poursuivre dans les couloirs du métro. Une bagarre éclate et le vigile aurait alors poignardé l'un des jeunes garçons au ventre. Dix minutes plus tard, le suspect est interpellé par les policiers. La victime, grièvement blessée, a été opérée d'urgence et placée en soins intensifs à Purpan. Ses jours ne sont plus en danger. Le suspect avait nié, lors de sa garde à vue, avoir utilisé un couteau. Une arme qui n'avait pas été retrouvée par les policiers. La Brink's, qui avait embauché cet homme, avait déclaré qu'il avait reçu « toutes les formations préalables. »

Merci 1306, devant de tels faits, qui ne manqueront pas de nous être opposés, il est bon de disposer de toutes les informations souhaitables pour forger sa conviction.

thecorse a écrit:

Merci 1306, devant de tels faits, qui ne manqueront pas de nous être opposés, il est bon de disposer de toutes les informations souhaitables pour forger sa conviction.

d'autres part que l'on ne parle même pas des autres personnes participant à la "rixe"[i]

les agents de la Brink's du metro ont manifesté leurs soutiens à leur collégue incarcéré ; mardi dernier à la station Jean Jaurés de toulouse